On a quand même du mal à trouver intelligent celui qui prétend révolutionner l’agriculture avec 2 ou 3 pieds de tomates sur son balcon, alors que le paysan cultive des dizaines d’hectares afin de nourrir la population.
Sans croissance, point d’investissement dans la recherche et l’innovation.
Avec la décroissance qui ne mangera pas ?
Né en France, l’individu bénéficie dès l’origine de droits, d’acquis sociaux, et d’un environnement davantage propice à son épanouissement que dans la plupart des pays.
De surcroît, il bénéficie immédiatement des infrastructures de santé et d’instruction favorisant son apprentissage, son bien-être et son espérance de vie.
En effet, on constate que la longévité humaine s’est accrue :
Tout comme la durée de l’existence humaine en bonne santé a augmenté :
L’individu ne peut pas demander à la communauté de travailler moins, alors que dans le même temps sa longévité s’est accrue, faisant supporter à l’ensemble de la collectivité cet allongement de l’espérance de vie.
Puis, il y a les magiciens, ceux qui veulent faire payer les riches entrepreneurs au centuple de ce qu’ils versent déjà.
Aucun être humain ne reste dans un environnement qui lui est hostile, entouré de charognards, prêts à spolier l’ensemble de son travail.
En outre, une entreprise n’a pas vocation à perdre de l’argent. Il ne s’agit pas d’une association à but non lucratif, mais d’une organisation créée pour croître et être profitable.
La France est le pays le plus généreux avec les pauvres, c’est aussi le plus redistributif :
Seulement l’argent n’est pas magique, il faut le gagner pour le donner.
L’entreprise et ses salariés créent la valeur, ils gagnent de l’argent, leur argent.
L’imposition corrélative (IS et IR) permet ensuite de donner de l’argent à ceux qui n’en gagnent pas ou insuffisamment.
Le plus efficient pour la communauté, reste d’apprendre comment gagner de l’argent à ceux qui bénéficient de la solidarité collective, afin qu’ils puissent s’émanciper de leur situation d’assisté.
Le pire de l’ingratitude consiste à honnir ceux qui créent des emplois dans le pays, tout en étant incapable de créer le sien.
Des pleurnichards victimaires, de surcroît donneurs de leçons, incapables de raisonner, de poser les choses, pour parvenir à un consensus dans l’intérêt général.
L’ignorance et le mépris :
La bêtise et l’inculture :
Ces individus ne sont même pas parvenus à créer leur propre emploi, à subvenir à leurs besoins les plus essentiels (voir primaires) sans quémander l’assistance publique, mais ils viennent donner des leçons d’entrepreneuriat ?
Les dirigeants d’entreprises ne naissent pas « riches » ils le deviennent (éventuellement) par leur travail acharné (jusqu’à 80h/sem) et par leurs capacités à fédérer autour de leurs idées. Ils créent d’abord leur propre emploi avant de créer celui des autres.
La justice sociale passe par l’équité entre les individus.
Cependant, il ne peut y avoir de sous-citoyens, tout comme il ne peut y avoir de partage sans considération du travail de celui qui donne à l’autre.