On pourrait s’attendre a ce que cet hôtel situé sur Toulouse soit répertorié comme MAUVAIS de part des prestations bas de gamme et un accueil déplorable, mais « Une chambre en Ville » est à éviter pour ne pas être confronté à son directeur.
En effet, Monsieur Adrien DURAND-LAJOINIE semble être malveillant.
Explications :
2 années après s’être inscrit sur une plateforme de gestion de la paie, sans l’avoir utilisée conformément à la réglementation en vigueur, il décide de dénigrer l’entreprise éditrice de la plateforme, en déposant de faux avis clients sur leur page d’évaluation.
2 ans après, l’intention première d’Adrien DURAND-LAJOINIE n’est pas d’informer, mais de nuire et se venger.
Il ne s’agit pas là pour Adrien DURAND-LAJOINIE de partager une mauvaise expérience, dans ce cas, ce monsieur aurait simplement déposé 1 avis explicite. Non, Monsieur DURAND-LAJOINIE a décidé de se venger en déposant plusieurs avis fallacieux afin de nuire à l’entreprise. Faire du mal pour faire du mal.
Ce n’est pas acceptable, d’une part car c’est illégal, d’autre part car la haine gratuite, la vengeance, la calomnie et la malveillance mèneront inévitablement Adrien DURAND-LAJOINIE devant les Tribunaux.
En effet, ce monsieur réclame un remboursement indu. Il n’y a pas de droit de rétractation pour les professionnels (retournez-donc vous former au métier de dirigeant Adrien DURAND). De la même façon, les remboursements n’existent généralement pas en BtoB, s’agissant d’avoirs et cela conformément à la réglementation en vigueur.
Seulement pour Adrien DURAND, ce n’est pas acceptable, alors il fait du chantage commercial : soit l’entreprise le rembourse, soit il dépose de faux avis sur sa page… belle mentalité !
1- Il demande le remboursement de l’utilisation d’un logiciel… Ce qui revient à demander le remboursement du carburant utilisé pour se déplacer… Une fois utilisé, il n’est évidemment pas remboursable.
2- Le chantage commercial est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende. L’article 312-11 du Code pénal prévoit que le fait pour l’auteur de l’infraction de mettre sa menace à exécution est une circonstance aggravante. Ce qui est le cas.
…venir vociférer sur la page d’avis clients d’une entreprise deux années après avoir soit-disant demandé un remboursement qui n’était pas dû, c’est indigne, puérile et stupide.
Comme l’entreprise ne compte nullement laisser Adrien DURAND lui nuire, la réponse sera proportionnée à l’attaque subie.
Tiens, cela rappelle un autre conflit dans le monde où l’agresseur se fait passer pour la victime qui n’aurait pas été entendue avant le début du conflit… Un agresseur reste un agresseur.
Ce monsieur DURAND, comme son hôtel, « Une chambre en Ville« à Toulouse, sont clairement à éviter.