CatégorieE-commerceRéférencement (SEO)

Comment et pourquoi créer une FAQ sur votre site e-commerce ?

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Vous avez un site e-commerce ? Avez-vous pensé à créer une FAQ (Foire Aux Questions?). Cet outil s’avère très précieux pour les boutiques en ligne, et ceci pour plusieurs raisons.

La première qui vienne à l’esprit est celle de l’expérience utilisateur : grâce à la FAQ, vos visiteurs trouvent rapidement une réponse à leurs questions, ce qui permet de décharger votre service client.

De plus, il s’agit d’un véritable outil marketing pour augmenter le taux de conversion du site e-commerce.

Enfin, la FAQ est un contenu de qualité qui permet également d’améliorer votre référencement naturel pour accroître votre visibilité.

Comment créer une FAQ efficace pour votre site e-commerce et améliore ainsi votre taux de conversion ?  Nous vous donnons 3 conseils !

1- Bien placer sa FAQ sur son site e-commerce

Avant de commencer à rédiger, vous devez vous poser la question de l’emplacement de la FAQ sur votre site e-commerce. Dans tous les cas, celle-ci doit-être facilement accessible au visiteur. Dès la page d’accueil ? celui-ci doit pouvoir trouver les réponses qu’il cherche concernant vos produits, les frais de ports, les délais de livraison, votre politique de retour etc.

Si le service client gère de très nombreuses questions récurrentes quotidiennement et que cela représente un pan important de votre activité : vous pouvez créer un centre d’assistance dans lequel vous intégrez une FAQ. Les prospects peuvent ainsi vérifier si la réponse s’y trouve pas avant de contacter un conseiller. Vous pouvez notamment utiliser un outil comme Helpdesk ou héberger votre page FAQ directement sur votre site.
La dernière solution est préférable pour améliorer votre SEO (nous verrons comment après).

Sur votre site, vous pouvez placer votre FAQ :

  • dans une rubrique en page d’accueil,
  • directement sur vos fiches produits et/ou vos articles de blog,
  • dans les catégories paiement et livraison etc.

L’emplacement de la FAQ doit répondre à des impératifs d’accessibilité et de pertinence !

2- Traiter les questions pertinentes pour vos visiteurs

Lorsque vous rédigez la FAQ, utilisez la liste de questions récurrentes traitées par le service client si vous en avez déjà une.

De plus, pour rédiger les question d’une FAQ sur votre site e-commerce, vous devez vous mettre à la place des visiteurs : de quelles informations vont-ils avoir besoin pour prendre leur décision d’achat ? Quelles informations doivent être délivrées afin de prévenir les éventuelles futures réclamations ?

Globalement, pour la vente en ligne, les principales questions à poser dans la FAQ concernent les points suivants : 

  • Composition, fonctionnement et durabilité du produit (ou caractéristiques du service) : comment le produit est-il fabriqué ? D’où proviennent les matériaux ? A quoi sert le produit ? Qu’apporte le produit aux clients ? Comment fonctionne le produit ? Le produit est-il éco-responsable ? 
  • Gestion du compte client et données personnelles : faut-il créer un compte client pour passer commande ? comment créer mon compte ? Que faire si l’on perd son mot de passe ? Comment modifier mon compte ? Puis-je conserver mon panier d’une visite sur l’autre ? Que faites-vous de mes données personnelles ?
  • Paiement : est-il possible de payer en plusieurs fois ? Quels sont les moyens de paiement possibles sur le site ?
  • Livraison : quelles sont les options d’expédition ? Combien coûtent les frais de port ? Peut-on avoir la livraison gratuite ? Quand recevrai-je ma commande ? Que faire en cas de réception d’une commande défectueuse ?
  • Gestion de commande : Comment suivre ma commande ? Où en est mon colis ? Que faire si je ne reçois pas la commande ?
  • Retour d’article : quelle est la politique de retour d’article ? A quel condition puis-je obtenir le remboursement du service ?

Etc.

Il n’existe pas de FAQ type, celle-ci doit permettre à vos visiteurs de trouver un premier niveau de réponse et de le mettre en confiance au moment de sa décision d’achat.
A travers les réponses de la FAQ, vous rassurez votre prospect concernant la qualité de vos produits et le sérieux de votre service. On le rappelle, l’un des objectifs d’une FAQ est d’améliorer l’expérience utilisateur pour augmenter votre taux de conversion : rien de mieux que la réassurance pour engager le visiteur.

De plus, les FAQ doivent évoluer en fonction des questions que les visiteurs du site vous posent mais aussi des évènements pouvant survenir (pénurie de matériaux, difficultés d’acheminement, pandémie!).

Enfin, si vos produits ou services ont une spécificité, n’hésitez pas à la mettre en avant. Par exemple, si vous vendez de la cosmétique artisanale :

  • Les produits sont-ils bio ?
  • Les produits sont-ils testés sur les animaux ?
  • Les produits contiennent-ils des allergènes ? Etc.

La FAQ doit répondre aux questions des internautes et mettre en valeur votre offre. Mais ce n’est pas tout !

3- Rédiger une FAQ bien optimisée pour le SEO

Autre objectif de la FAQ : améliorer votre référencement naturel !

Vous le savez, Google cherche à apporter une réponse pertinente à la question que pose l’internaute au moteur de recherche.

C’est en cela que la FAQ doit avoir toute son importance au sein de votre stratégie SEO. En effet, le moteur de recherche et la FAQ partagent le même objectif : trouver la réponse la plus pertinente au problème de l’internaute. De ce fait, si votre FAQ contient la réponse à une question posée par un internaute, celle-ci va être valorisée par le moteur de recherche.

De plus, les FAQ sont formulées sous forme de questions entières, ce qui est particulièrement intéressant pour les requêtes vocales. En effet, si à l’écrit les internautes tapent des mots-clés, à l’oral, ils formulent généralement des questions complètes : les FAQ ont alors toutes les chances d’être bien positionnées.

Voici quelques bonnes pratiques pour optimiser votre FAQ :

  1. Se mettre à la place de l’internaute : l’objectif de la FAQ est de répondre aux questions que vont poser les internautes. Vous devez donc vous demander quelles questions celui-ci se pose et comment il va formuler sa requête. Vous pouvez, par exemple, vous inspirer des « questions fréquemment posées » que vous trouvez dans la SERP Google en première page.

  2. Rédiger la question en décomposant la requête de l’internaute : il est essentiel de faire une étude de mot-clé pour choisir les plus précis, les plus recherchés et qui correspondent le mieux à l’ intention de recherche de l’internaute. Vous pouvez viser les mots-clés longue traîne pour une réponse encore plus précise. Par exemple : sur une fiche produit, plutôt que le mot-clé écharpe, utiliser la longue traîne « écharpe légère en lin ».

  3. Rédiger des réponses bien détaillées : la réponse donnée doit être précise. Elle contient les mots-clés pertinents pour présenter un contenu informatif de qualité et suffisamment étoffé.

  4. Faire des liens sur le contenu de la FAQ: il peut-être judicieux de mailler les pages du site à la FAQ et inversement. L’internaute trouve ainsi plus facilement l’information et cela facilite sa navigation entre les pages de votre site e-commerce. Par exemple, si vous décrivez un produit dans un votre FAQ, placez un lien sur la fiche produit en question.

Les recommandations pour rédiger une FAQ optimisée sont peu ou prou les mêmes que pour un contenu classique !

La FAQ présente de multiples atouts pour votre site e-commerce, pensez-y !

CatégorieJustice et réglementation

Gestion des cookies : Faire payer l’internaute pour accéder à un site web, est-ce légal ?

Vous avez sans doute remarqué qu’en matière de gestion des cookies, certains sites web offrent deux choix à l’internaute, par exemple :

« accéder au site pour X€ TTC pendant x mois sans cookie publicitaire »
ou
« accéder au site gratuitement en acceptant les cookies publicitaires » :

gestion_des_cookies

Par exemple, vous trouvez ce type d’affichage sur des sites comme Voici ou Allociné :

gestion_des_cookies

Le site du journal « le Monde » propose également de payer un abonnement pour accéder au contenu ou d’accepter simplement les cookies :

gestion_des_cookies

Cette pratique est-elle conforme au principe de consentement éclairé et libre aux cookies imposé par le RGPD ? Qu’en dit la CNIL ?

Qu’est-ce qu’un cookie wall ?

Cookie wall et paywall : les définitions

Les bandeaux cookies sont des écrans s’interposant entre le site et l’internaute, lui imposant de faire un choix :

  • Accepter les cookies,
  • Les refuser mais accepter de fournir une contrepartie,
  • Ou simplement partir sans entrer sur le site.

Le  terme de « cookie walls », ou « mur de traceurs » en Français, désigne la pratique consistant à conditionner l’accès à un service au consentement de l’internaute au dépôt de traceurs sur son ordinateur (smartphone, tablette).

Cette pratique a pour objectif de compenser la perte de revenus publicitaires liée au refus du dépôt des traceurs

En cas de refus de la part de l’internaute, certains sites ont mis en œuvre un choix alternatif : celui-ci peut refuser les cookies mais cela l’ oblige à fournir une contrepartie. Cette pratique a pour objectif de compenser la perte de revenus publicitaires liée au refus du dépôt des traceurs. Ils obtiennent ainsi une autre forme de rémunération.

Si la contrepartie est demandée sous forme d’argent, le mur de traceur est appelé « paywall ».

Si le visiteur refuse les cookies, il ne pourra accéder au contenu qu’en s’acquittant d’une certaine somme d’argent.  

Par exemple, sur le site JeuxVideo.com, vous avez deux possibilités uniquement :

Gestion_des_Cookies

« accéder au site pour 2€ TTC pendant 1 mois sans cookie publicitaire »
ou
« accéder au site gratuitement en acceptant les cookies publicitaires ».

Aucun autre choix n’est offert à l’internaute s’il veut entrer sur le site web.

Cookie wall : le consentement en question

La question de la légalité de la pratique des cookie walls est discutée notamment concernant les règles du RGD encadrant le consentement des personnes lors du recueil de leurs données personnelles.

L’article 4 du RGPD définit le «consentement» de la personne concernée comme « toute manifestation de volonté, libre, spécifique, éclairée et univoque par laquelle la personne concernée accepte, par une déclaration ou par un acte positif clair, que des données à caractère personnel la concernant fassent l’objet d’un traitement ».

Le consentement libre  signifie que l’accord de la personne au traitement de ses données ne doit pas être contraint et influencé. Il résulte d’un choix librement réalisé par les personnes, sans avoir à subir quelque conséquence que ce soit en cas de refus.

Or, si l’internaute refuse les cookies, celui-ci ne pourra pas accéder au contenu. Il s’agit d’une conséquence directe du refus, et l’on pourrait constater là un préjudice.

La question s’est particulièrement posée lorsque les préconisations de la CNIL sont devenues obligatoires à partir du 31 mars 2021, et que de nombreux acteurs du web ont opté pour la mise en œuvre de cookies walls.

Cookie wall et paywall : est-ce conforme au RGPD ?

Pas d’interdiction de principe des cookie walls

La CNIL a d’abord interdit les murs de traceurs dans ses lignes directrices sur les cookies en date de Juillet 2019.

En effet, l’organe de contrôle estimait que  l’internaute ne devant pas subir de conséquences en cas d’absence ou de retrait du consentement, l’accès à un site internet ne pouvait pas être conditionné à l’acceptation des cookies. Cette position condamnait clairement la possibilité de faire payer l’internaute pour accéder à du contenu en cas de refus des cookies.

Or, le Conseil d’État, en a décidé autrement :

« La CNIL ne peut pas légalement interdire dans ses lignes directrices les cookie walls » et que celle-ci «  a excédé ce qu’elle pouvait légalement faire »

En effet, dans une décision du 19 juin 2020, la plus haute juridiction administrative Française a jugé que la nécessité de l’existence d’un consentement libre ne pouvait pas justifier une interdiction générale de la pratique des « murs de traceurs ».
Et cela, en dépit du conditionnement de l’accès au site web à l’acceptation des cookies ou à la fourniture d’une contrepartie, y compris financière. Le Conseil d’État estime que la liberté du consentement doit être appréciée en tenant compte de l’existence et du type d’alternatives existantes. Cette appréciation doit se faire au cas par cas.

De fait, cette décision limite le caractère général et absolu de l’interdiction des murs de traceurs posé par principe par la CNIL. Le conseil d’État considère que « la CNIL ne peut pas légalement interdire dans ses lignes directrices les cookie walls » et que celle-ci «  a excédé ce qu’elle pouvait légalement faire ».

La CNIL en appelle au législateur Européen pour fixer des règles claires et précises sur ce point afin de pouvoir évaluer la légalité des pratiques existantes et poser un cadre juridique sécurisant pour tous, éditeurs de publicité, sites web et internautes.
En attendant, la CNIL a édicté un certain nombre de critères à respecter, ce qui doit permettre d’évaluer la légalité ou non de ces bandeaux cookies au cas par cas.

Bandeau Cookie : 3 critères à respecter selon la CNIL

1- Une alternative réelle et équitable

Lorsqu’un internaute refuse les cookies sur un site web, celui-ci doit disposer d’une alternative réelle et équitable pour accéder au contenu recherché sans avoir à accepter l’utilisation de leurs données.

Dans le cas où l’éditeur de site instaure une contrepartie de la part de l’internaute pour refuser les traceurs, il doit être vigilant à ne pas créer un déséquilibre qui priverait celui-ci de choisir. Autrement dit, l’alternative doit être simple d’accès.

Dans certains cas, les bandeaux cookies sont interdits.

En effet si les contenus ne sont accessibles que sur un site en particulier, les cookie walls sont interdits.
C’est par exemple le cas des services administratifs qui ne peuvent conditionner l’accès à une démarche administrative à l’acceptation de traceurs.
Dans le cas contraire, l’internaute qui ne peut effectuer sa démarche sur un autre site se verrait contraint d’accepter les cookies. Le consentement ne pourrait donc pas être qualifié de libre.

En revanche, si le contenu est accessible sans cookie wall auprès d’un autre site web, l’internaute a la possibilité de changer de site web pour s’informer. Il dispose bien d’une alternative. 

2- Un tarif raisonnable en cas de paywalls 

Comme nous l’avons vu, le paywall est un bandeau cookie demandant une contrepartie financière.
Si l’internaute refuse les cookies, ce dernier doit payer une somme d’argent pour accéder au site. Cette pratique est permise mais la CNIL impose une condition :  l’alternative payante doit être raisonnable.  

Par raisonnable, la CNIL entend que cette contrepartie financière ne soit pas de nature à priver l’internaute de l’accès au site et, de ce fait, d’un véritable choix.

La CNIL ne fixe pas de plafond au tarif « raisonnable ».

Le caractère raisonnable est évalué au cas par cas.

Par exemple : JeuxVideos.com demande 2€ pour accéder au contenu sans cookie tandis que le site du Monde en demande 9,90€.

Les tarifs sont différents, ils en ont tout à fait le droit.

Toutefois, l’éditeur de site qui met en place un paywall doit être en mesure de justifier le caractère raisonnable de cette contrepartie payante, notamment en fonction du service proposé.

3- Un bandeau cookie adapté à la finalité

Il est possible de conditionner l’accès au site au consentement à une ou plusieurs finalités des traceurs à condition que l’éditeur puisse justifier que le bandeau cookie est limité aux finalités permettant une juste rémunération du service proposé.

Attention, la publicité ciblée et la personnalisation du contenu sont deux finalités différentes qu’il convient de distinguer. Si l’éditeur de site se justifie en arguant que la rémunération de son service compense les revenus qu’il pourrait obtenir de la publicité ciblée, alors, seul le consentement à cette finalité doit être nécessaire pour accéder au service. Dans ce cas, si le visiteur refuse la personnalisation du contenu éditorial, cela ne doit pas l’empêcher d’accéder au site sans cookies (et inversement).  

L’internaute doit recevoir une information claire concernant les finalités pour lesquelles il doit accepter les cookies en vue d’accéder au site web et donc au service proposé.

Pour conclure :

Il n’est pas interdit de proposer aux visiteurs de payer une certaine somme pour accéder à un site web.

La CNIL impose simplement le respect de certains critères pour apprécier la légalité de ces murs de traceurs, au cas par cas. Il s’agit de voir si la législation Européenne prendra le relai pour fixer des règles plus nettes sur ce sujet !

Choisissez cette solution de gestion des cookies conforme au RGPD et validée par un Avocat spécialiste du sujet.

Sources : ici et , puis encore .

CatégorieEntrepreneuriat

Une année FABULEUSE !

De mon point de vue, l’année 2022 était fabuleuse !

Chez Dotnet d’abord

Chez Dotnet d’abord, nous avons non seulement atteint les objectifs fixés, mais nous les avons dépassé.
L’organisation et la qualité de travail des personnels y sont pour beaucoup.
Nos recrutements de cette année ont également permis ces fabuleux résultats.

Les arrivées respectives de Kevin, Tom et Corentin au service commercial, ont véritablement permis d’accroître la satisfaction client et de développer le CA.

Le suivi et l’implication du CTO, associés au talent des équipes IT ont fait le reste. Des équipes formidables, aux personnalités attachantes.

Merci.

Quelques points de contact

Mes vœux de l’année passée, consistaient davantage en un état des lieux de la période écoulée, que de véritables souhaits pour l’année qui arrivait.
 
Depuis deux ans, mon souhait le plus cher,  était d’éliminer à tout prix les individus et les organisations nocives.
 
C’est ainsi qu’au début de l’année, il aura fallu écarter un collaborateur devenu expert en astronomie, spécialiste de la Covid, l’ensemble porté par des compétences « évidentes » de politique intérieure.
 
À un moment donné, lorsqu’il n’est plus possible d’user de pédagogie, d’échanger avec raison et bon sens, la séparation devient inéluctable. Un véritable crève-coeur, mais inévitable.
Aucun dirigeant ne recrute pour licencier ou voir partir ses collaborateurs.

Pour la défense de nos intérêts

De la même manière, nous avons défendu nos intérêts auprès des tribunaux dans différents dossiers pour faire valoir nos droits, et ce n’est pas terminé.
 
En la matière, 2023 s’inscrit dans la continuité de 2022.
 
Nous continuerons d’assigner au tribunal les organismes qui usent de méthodes déloyales à l’égard des TPE et des PME françaises 🇫🇷 dont nous faisons partie.

Je pense immédiatement à Trustpilot, GoWork et Signal Arnaques.

Pour défendre les TPE et PME

Ces organisations peuvent être assurées de notre détermination, à voir leurs agissements déloyaux et malveillants condamnés.
 
A ce titre, les recours collectifs menés par le cabinet FIDAL AVOCATS vont se multiplier dans les mois qui viennent.
 
Les faux avis clients, les propos orduriers, insultants, calomnieux, et diffamatoires seront systématiquement attaqués.

Les pages d’avis créées à l’insu des entreprises concernées, seront TOUTES contestées devant les tribunaux.

Quant aux plateformes qui ne font pas leur job, ou le font mal, sciemment, pour des raisons mercantiles, elles seront assignées.
 
En outre, une association de défense-recours pour les TPE-PME sera créée prochainement. J’en dirai davantage dans les semaines qui viennent.

Les innovations et les projets

Cette année, nous avons pu déployer d’autres applicatifs notamment  développés par Alfanet Technologies.
 
Je pense immédiatement à l’application de gestion des consentements des cookies conforme au RGPD, et mise en production en toute fin d’année. Bravo Mathéo 😉
C’est aujourd’hui la seule extension de gestion des cookies disponible sur WordPress, conforme au RGPD, et surtout validée par un Avocat spécialiste du sujet ! A découvrir là.

Mécénat et pro bono

Chez Dotnet, la solidarité et la générosité sont ancrées dans l’ADN de l’entreprise et de ses collaborateurs.
 
C’est ainsi que nous avons réalisé le site, Metasia en action pro bono, afin d’aider un entrepreneur à se remettre en selle. Quel bonheur !
 
 
voeux_2023

Pour 2023,

Plusieurs gros et beaux projets sont en cours de finalisation.

Ils sortiront comme prévu durant le premier semestre de cette nouvelle année, mais aussi :
 
  • Des formations professionnelles qualifiantes et certifiantes, en matière d’entrepreneuriat, de e-commerce de digital, de SEO, de Web marketing, etc. etc.

  • Une nouvelle version du logiciel de paie avec des fonctionnalités enthousiasmantes, une ergonomie exceptionnelle (du jamais vu), et une interopérabilité totale.

  • 2 nouvelles applications viendront se greffer autour de fiche-paie.net.

  • Après le succès et les retours positifs au sujet du livre Ecommerce, un second opus sera publié en 2023.

  • L’ensemble des alternants actuellement chez Dotnet et qui arrivent en fin de contrat se verront proposer un CDI.

  • Une nouvelle action pro bono sera proposée aux équipes, et concerne les AVC (Accidents Vasculaires Cérébraux).
    Chaque année 150 000 personnes y sont confrontées et 40 000 d’entre elles décèdent. La technologie doit pouvoir faire quelque chose.
 
Et vous qu’avez-vous pensé de l’année écoulée ? Que prévoyez-vous pour la nouvelle ?
 
Meilleurs voeux de santé (surtout), de joie, d’amour et de business bien entendu !
 
 
« La véritable réussite, c’est le bonheur ! »

Bernard Tapie.
CatégorieMédiocrité & Contentieux

La Poste : Problème distribution de courrier – réexpédition

Quelle est véritablement l’organisation de La Poste ?

On constate encore une fois des organisations qui ne font pas leur travail correctement ou pas du tout à l’instar du groupe La Poste.

La_poste_mediocrite

Dans le cadre d’un déménagement, il est préférable d’effectuer une ré-expédition du courrier vers la nouvelle adresse.

Le monopole de La Poste implique l’exemplarité

Il n’existe pas d’alternative à La Poste dans la mesure où elle a le monopole sur le territoire français dans l’acheminement et la distribution du courrier.

Seulement, même lorsqu’il s’agit de l’activité principale de l’entreprise, La Poste ne semble pas être en capacité de fournir les services commandés et payés par ses clients.

Exemple concret du travail effectué par La Poste

Le client souscrit un contrat de ré-expédition du courrier directement en ligne sur le site laposte.fr :

La poste - étape 1

Il rempli toutes les données nécessaires et effectue la vérification en ligne de son identité, puis paie.

Il obtient un numéro de contrat et la confirmation de la bonne mise en place du contrat le 07 Décembre 2022 :

La_poste_02

La Poste ne respecte pas ses obligations ni ses clients

Seulement, le contrat n’a JAMAIS ÉTÉ MIS EN PLACE.
Le client n’a JAMAIS ÉTÉ PRÉVENU.

Conséquence directe :

Un courrier contenant un protocole transactionnel de plusieurs millions d’euros a été retourné par La Poste à l’expéditeur pour cause de « N’habite pas à l’adresse indiquée »

Le protocole n’étant pas réceptionné par son destinataire à son domicile, ni signé par les autres parties prenantes, le projet concerné est à nouveau à l’arrêt pour plusieurs semaines au préjudice des entreprises et des salariés concernés.

Est-ce bien sérieux ?

Ce n’est pas terminé….

Les échanges avec les agents de La Poste

Le client appelle La poste au 3631 afin de comprendre la situation et surtout la solutionner.

La première interlocutrice renvoie le client vers un autre numéro de téléphone, les commandes internet étant gérées par un autre service (09 69 39 91 11).

La deuxième interlocutrice explique au client qu’il s’agit d’un « bug » informatique qui empêche TOUS les contrats de ré-expédition de courrier souscrits en ligne d’être mis en place.

Un bug connu, remonté aux équipes et non-résolu depuis DES SEMAINES !

Le client demande à ce que l’on solutionne le problème et que la ré-expédition soit bien mise en place.

« Impossible ! »

Répond l’interlocutrice qui résilie unilatéralement le contrat, mais adresse un email au client indiquant que c’est à son initiative.

Le client doit repasser commande pour sa ré-expédition. Ce qu’il effectue immédiatement.

3 commandes auprès de La Poste

A nouveau, le contrat est résilié unilatéralement par les services de La Poste.

Le conseiller au téléphone indique au client de souscrire pour 6 mois au lieu de 12, et que cela devrait fonctionner.

Le client s’exécute et obtient confirmation par téléphone (après 8 appels) que le contrat « semble » en place.

La mission principale de La Poste est d’acheminer le courrier

La poste a pour mission de service public d’assurer l’acheminement et la distribution du courrier, et même là, elle n’y parvient pas !

Au lieu de proposer toutes sortes de services et notamment du jardinage à ses clients, La Poste devrait plutôt se concentrer sur son activité principale : l’acheminement et la distribution du courrier CORRECTEMENT !

Aucune proposition de geste commercial ou d’indemnisation malgré les conséquences directes pour le client

En outre, aucune proposition de geste commercial ou de remise et bien entendu d’indemnisation, n’a été effectué par la poste.

Le bug est toujours présent et bien entendu, il n’est ni corrigé, ni signalé :

La Poste 03

En conclusion, à La Poste le travail n’est PAS fait.

.. ce qui n’empêche nullement le groupe La Poste de proposer des services qui n’ont rien à voir avec son « coeur d’activité » comme le jardinage par exemple : 

 

La_Poste

MAJ du 04/01/2022 : Et l’aventure avec les services de La Poste continue !

25 jours APRÈS la commande La Poste se réveille :

La_poste

La Poste s’aperçoit enfin du bug récurrent depuis des mois malgré les signalements effectués et le mécontentement des usagers ;

La Poste propose une remise de 4,50€, non pour effectuer un geste commercial suite à leurs manquements aux conséquences bien réelles, mais pour ramener à zéro la hausse tarifaire prévu sur ce service inopérant !

Pas mal non ? La Poste, tout simplement !

Mieux, La Poste apporte une réponse personnalisée au souscripteur des contrats qui n’ont pas été mis en place :

La_Poste_Suite_et_fin

Aucun « lien », ni email, ni virement de la part de La Poste n’ont été a ce jour réceptionnés.

 

CatégorieE-commerce

OUI, le numérique et le E-commerce sont eco-responsables

La numérisation des activités humaines permet d’être eco-responsable
 
Oui, utiliser le numérique au quotidien dans son entreprise est bénéfique pour l’environnement.
 
E-commerce_environnement
 
Le e-commerce par exemple, et notamment les livraisons, sont comparables aux transports en commun pour les individus.
 
Un camion de livraison rempli de colis évite autant de déplacements individuels au préjudice de l’environnement et de la circulation urbaine.
 
Bien entendu, les détracteurs du numérique et du e-commerce ne voient que les camions de livraison qui circulent, et tels des aveugles omettent sciemment les centaines de milliers de trajets individuels évités chaque jour grâce à eux.
 
Il ne peut y avoir d’avantage sans inconvénient.
 
Oui, il y a des camions de livraison qui ne sont pas dépourvus de leur pollution, mais elle bien plus mineure que celle de centaines de véhicules individuels qui auraient été utilisés sans eux.
 
Chez Dotnet, qui édite le logiciel de paye fiche-paie.net plébiscité par plus de 100 000 utilisateurs en France métropolitaine et dans les DOM-TOM, l’environnement est au cœur des projets.
Les entrepreneurs responsables l’ont bien compris sinon ils ne seraient pas des dizaines de milliers à utiliser les solutions logicielles dématérialisées de l’entreprise.
 
La dématérialisation des fiches de paie évite de les imprimer, mais aussi de les transporter vers leur destinataire.
C’est autant de trajets évités que d’impressions réduites.
 
En outre effectuer une fiche de paie en ligne permet :

– de stocker celle-ci directement dans l’application ;
– de l’adresser si besoin par voie dématérialisée au salarié ;
– d’effectuer toutes les déclarations sociales en ligne sans courrier ;
– de disposer d’un logiciel de paie mis à jour quotidiennement sans effectuer de téléchargement inutiles.
 
Tout cela favorise positivement l’environnement.
 
Enfin, cela apporte un gain de temps considérable dans la gestion quotidienne de la paye et de ses composantes.
Puis, au delà d’éviter les impressions, de consommer de l’encre inutilement et du papier, cela permet aussi de faire de belles économies 😉

Alors qu’attendez-vous ?
Car il existe des centaines d’exemples comme ceux cités.
CatégorieE-commerceJustice et réglementation

Entrée en vigueur des règlementations DSA et DMA en 2023 : mais, de quoi s’agit-il ?

En 2023, deux textes visant à réguler internet à l’échelle Européenne entreront en vigueur  :

Le « Digital Services Act » (DSA, règlement sur les services numériques) et le « Digital Markets Act » (DMA, règlement sur les marchés numériques).

DMA_DSA

Proposés le 15 décembre 2020, ces deux textes ciblent plus particulièrement les GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft) et autres géants d’internet.

Quels sont les objectifs de ces textes ? Qui sont les entreprises visées par le DSA et le DAM ? Quelles en sont les mesures prévues ? Quelles sanctions ?

1- DMA : Le règlement sur les marchés numériques

Les principes du Digital Markets Act (DMA)

Le règlement DMA du 14 septembre 2022 a été :

  • Présenté fin 2020 par la Commission Européenne,
  • Définitivement voté par le Parlement européen et approuvé par le Conseil de l’Union Européenne en juillet 2022,
  • Publié le 12 octobre 2022,
  • Il entrera en vigueur le 23 mai 2023.

Le Digital Markets Acts vise à :

  1. Lutter contre les pratiques anticoncurrentielles des géants d’internet,
  2. Corriger les déséquilibres de leur domination sur le marché numérique européen.

Ce règlement vise à mieux encadrer les activités économiques des grandes plateformes internet que la Commission Européenne qualifie de “contrôleurs d’accès”.

Ce texte part du constat que certaines plateformes sont devenues à ce point incontournables pour les particuliers et les entreprises qui souhaitent tirer profit des avantages d’internet, qu’elle les rend dépendants d’elles pour leurs activités.
La libre concurrence est ainsi empêchée. En effet, selon la Commission européenne, il existe plus de 10 000 plateformes en ligne, dont 90% sont des petites et moyennes entreprises, pourtant seule une poignée d’entre elles, celle dites « systémiques », captent la majeure partie des consommateurs.

Le règlement sur les marchés numériques (DMA) établit un ensemble de critères objectifs pour définir une grande plateforme en ligne dite « systémique ». Celles-ci devront se plier à un ensemble de règles visant à éviter des pratiques déloyales, sous peine de fortes sanctions.

Cette régulation vient compléter le droit de la concurrence qui sanctionne à posteriori des ententes ou des abus de position dominante, ce qui ne suffit plus aujourd’hui à réguler efficacement le marché numérique.  Ce nouveau règlement vise à encadrer ces pratiques à priori. 

Les activités et les entreprises concernées par le DMA

Les entreprises visées sont les “contrôleurs d’accès”. Les plateformes sont qualifiées comme telles à 3 conditions cumulatives : 

  • Une position économique forte qui se caractérise par :

    • au moins 7,5 milliards d’euros de chiffre d’affaires réalisés dans l’Espace économique européen,
    • ou une capitalisation boursière / valeur marchande d’au moins 75 milliards d’euros avec une activité dans au moins trois Pays membres de l’EEE ; 
  • Le contrôle d’un “service de plateforme essentiel” : ces services sont les moteurs de recherche, réseaux social, messagerie, ou encore les marketplaces comptant :

    • au moins 45 millions d’utilisateurs Européens par mois,
    • et au moins 10 000 professionnels par an ;

  • Avoir dépassé ces seuils au cours des trois années précédentes.

Concernant les « services de plateforme essentiels » concernés, le règlement en énumère 10 : moteurs de recherche, service d’intermédiation (comme les places de marché ou les boutiques d’application comme Apple Store), réseaux sociaux, messageries en ligne, services en nuage (cloud), systèmes d’exploitation, services publicitaires, navigateurs web et assistants virtuels.

💡 Les PME sont en principe exemptées de la qualification de contrôleur d’accès.

Les mesures du  règlement sur les marchés numériques et les sanctions prévues

Les mesures à prendre

Les contrôleurs d’accès (aussi désignés comme « gatekeepers )» doivent nommer au moins un « responsable de la conformité » au règlement sur les marchés numériques. Il devra vérifier que l’entreprise se conforme aux mesures, et notamment aux suivantes :

  • Rendre le désabonnement à un service de plateforme aussi facile que l’abonnement ;
  • Faciliter la désinstallation d’applications préinstallées sur ses différents appareils ;
  • Autoriser les vendeurs à promouvoir leurs offres et à conclure des contrats en dehors des plateformes ;
  • Ne pas favoriser leurs offres par rapport à celles des vendeurs utilisant la plateforme ;
  • Ne pas utiliser les données des vendeurs utilisant la plateforme pour les concurrencer ;
  • Ne pas utiliser sans consentement les données personnelles des utilisateurs à des fins publicitaires, notamment en matière de gestion des cookies.

Les sanctions prévues par le règlement sur les marchés numériques

Les entreprises contrevenantes s’exposent à :

  • des amendes pouvant aller :

    • jusqu’à 10% du chiffre d’affaires mondial total pour une 1ère infraction ;
    • jusqu’à 20% de ce chiffre d’affaires en cas de récidive ;

  • des astreintes pouvant aller jusqu’à 5% du chiffre d’affaires journalier mondial total.

2- DSA :  le règlement sur les services numériques

Les principes du Digital Services Act (DSA)

Le règlement DSA du 19 octobre 2022 a été :

  • Présenté fin 2020 par la Commission européenne,
  • Définitivement voté par le Parlement européen en juillet 2022,
  • Approuvé par le Conseil de l’UE en octobre 2022,
  • Publié le 27 octobre 2022,
  • Il entrera en vigueur en 2023 pour les très grandes plateformes en ligne et les très grands moteurs de recherche et en février 2024 pour les autres acteurs concernés.

Ce règlement a pour principal objectif de lutter contre la haine en ligne et la désinformation en obligeant les plateformes à « garantir la sécurité de leurs utilisateurs par des systèmes de modération renforcés ». Ce règlement Européen modernise la directive 2000/31/CE du Parlement européen et du Conseil du 8 juin 2000 sur le commerce électronique en visant expressément les contenus et les produits illicites disponibles sur internet. Le DSA harmonisera ainsi les différentes législations des États Membres.

Les entreprises concernées par le DSA

Les entreprises concernées sont légèrement différentes de celles visées par le DMA, mais on y retrouve les géants, notamment les GAFAM. Le règlement DSA s’appliquera à tous les intermédiaires en ligne proposant leur offres (contenus, services, produits) sur le marché européen, qu’ils soient ou non établis en Europe.

Sont notamment concernés :

  • Les FAI (fournisseurs d’accès à internet),
  • Les services d’informatiques en nuage (cloud),
  • Les plateformes en ligne : marketplaces, boutiques d’applications, les réseaux sociaux, les plateformes de partage de contenus etc,
  • Les très grandes plateformes en ligne et moteurs de recherches utilisés par plus de 45 millions d’utilisateurs Européens chaque mois : cette mesure vise sans les nommer les GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft).

💡 Les petites et très petites entreprises seront exemptées de certaines obligations. Entrent dans cette catégorie les entreprises :

  1. Ayant un effectif inférieur à 50 salariés,
  2. Réalisant moins de 10 millions de chiffre d’affaires annuel
  3. Et n’atteignant pas 45 millions d’utilisateurs.

Les mesures du règlement sur les services numériques et les sanctions prévues

Les mesures à prendre

Le Digital Services Act prévoit de nombreuses mesures et notamment :

  • Lutte contre les contenus illicites : les plateformes en ligne devront proposer aux internautes un outil pour procéder simplement au signalement des contenus illicites. Le signalement reçu, la plateforme devra rapidement retirer ou bloquer l’accès au contenu signalé. Par ailleurs, les marketplaces devront tracer plus sérieusement les vendeurs proposant des produits ou services sur leur plateforme.

  • Transparence en ligne : les plateformes en ligne devront :

    • Rendre leurs décisions en matière de modération des contenus plus lisibles et transparentes,
    • Prévoir un système interne de traitement des réclamations,
    • Expliquer le fonctionnement des algorithmes.

  • Analyse des risques : Certains grands acteurs, dont la liste sera publiée par la Commission européenne, devront  chaque année :

    • Analyser les risques systémiques qu’ils génèrent,
    • Réaliser des audits indépendants de réduction des risques,sous le contrôle de la Commission européenne .

Ces mesures seront graduées selon le rôle de l’entreprise.

Les sanctions prévues par le règlement sur les services numériques

  • Principe : un « coordinateur des services numériques », autorité indépendante désignée par chaque État membre, sera mis en place.

  • Les très grandes plateformes en ligne et les très grands moteurs de recherche : eux seront surveillés directement par la Commission européenne qui leur fera payer des frais de supervision, dans la limite de 0,05% de leur chiffre d’affaires annuel mondial, afin de financer cette surveillance.  

En cas de non-respect du DSA, des sanctions et des astreintes pourront être prononcées par les coordinateurs des services numériques et la Commission européenne. Ces  amendes peuvent aller jusqu’à 6% du chiffre d’affaires mondial pour les très grandes plateformes et les très grands moteurs de recherche.

En cas de violations graves et répétées du DSA, une interdiction pure et simple d’activité sur le marché européen pourra être formulée. Toutefois, dans la mesure où cela peut mettre en cause l’activité de milliers de professionnels et d’utilisateurs, une telle interdiction devra être réellement motivée !

Pour conclure, ces deux règlements Européens DSA et DMA ont pour ambition de faire cesser les agissements problématiques des géants d’internet au profit du développement d’acteurs de plus petite taille. Ils devraient également permettre aux internautes de reprendre le pouvoir sur leurs propres contenus en gagnant en protection et en autonomie.

La Commission européenne a indiqué que ces règlements devraient apporter « plus de choix, des prix plus bas, moins d’exposition aux contenus illégaux, une meilleure protection des droits fondamentaux, un contrôle démocratique et une surveillance accrus des plateformes « systémiques » ainsi qu’une atténuation des risques systémiques, tels que la manipulation ou la désinformation. »  Le ton est donné !

Source ici et .

CatégorieMédiocrité & Contentieux

Banques : 3 exemples de ce qu’elles ont le droit de faire avec votre argent

banque

Nous sommes tous confrontés à un moment de notre existence à une banque et à ses services.

Que cela soit à titre privé, simplement pour la détention d’un compte bancaire, ou bien pour des raisons professionnelles afin simplement de faire fonctionner une entreprise, régler par exemple ses fournisseurs et payer ses salariés.

La relation de confiance est indispensable avec l’interlocuteur qui traite les opérations quotidiennes de ces comptes bancaires.

Seulement, les banques ont des droits et le Tribunal de Commerce de Nantes vient de le rappeler dans une décision N°2021004950 datée du 1er Décembre 2022 :

1.Une banque peut adresser un courrier de dénonciation des services bancaires en indiquant une date antérieure à la date réelle.

Exemple :

Courrier rédigé le 3 février 2021, mais….

Courrier de la banque

déposé à La Poste le 11 Mai 2021

Enveloppe de la banque

NB : Ajoutons que l’adresse n’est pas correcte non plus, le siège étant situé au « 26 bis ».

Rassurez-vous, ceci est parfaitement normal, pour le Tribunal de Commerce de Nantes, il n’y a là AUCUN MANQUEMENT de la banque.

Autre exemple, un courrier de la même banque daté du 15 janvier 2021, faisant état d’un préavis de 2 mois à compter de la date indiquée sur le courrier :

Courrier de la banque

Or, le courrier sera déposé en bureau de poste 7 jours plus tard, le 22 Janvier 2021, faisant ainsi perdre sciemment une semaine de préavis à son destinataire :

Enveloppe du courrier

Ainsi, un banquier peut tout à fait adresser des courriers à ses clients en mettant la date qu’il souhaite et en l’adressant ensuite lorsqu’il le pourra ou voudra.

Par conséquent, aucune anticipation n’est possible pour le destinataire dudit courrier qui sera mis devant le fait accompli, sans recours.

En outre, il est nécessairement privé, tout ou partiellement, du préavis  corrélatif, et subit dès lors, une perte de chance évidente pour trouver une solution par la réduction des délais.
Enfin, la solution trouvée dans l’urgence sera nécessairement plus coûteuse qu’une autre patiemment négociée avec une mise en concurrence.

Note importante :

> Les opérations bancaires étaient déjà impossibles à réaliser AVANT même d’avoir réceptionné les courriers ci-dessus (dès le 18 Janvier comme le confirme la vue ci-dessous) :

Vue compte bancaire

La banque n’a donc pas respecté le préavis, mais cela est tout à fait normal pour le Tribunal de Commerce de Nantes

2. Une banque peut bloquer votre argent… indéfiniment

En cas de clôture de compte bancaire, de dénonciation des services bancaires, et des conventions de comptes, certaines opérations peuvent être soumises à validation de la part de l’établissement bancaire.

Cela n’autorise pas le blocage pur et simple de l’ensemble des opérations bancaires :

exemple virement bloqué par la banque

A titre d’exemple, ce virement ne sera JAMAIS validé, ni exécuté par la banque malgré un solde largement suffisant.

Ces autres virements ne seront JAMAIS exécutés, malgré des comptes suffisamment approvisionnés :

virement bancaire non exécuté

Je vous laisse imaginer les conséquences pour les salariés qui, dans ces conditions, ne perçoivent évidemment pas leur salaire.

Il faudra la pression des Avocats pour faire céder un peu la banque et récupérer les fonds des 2 sociétés concernées et à titre privé.

3. Une banque peut prélever ses frais et refuser de créditer votre Chiffre d’Affaires

Pour résumer simplement si vous avez un commerce, la banque prélève ses frais et commissions bancaires sur chaque vente réalisée, et crédite votre compte bancaire du Chiffre d’Affaires corrélatif.

Ici, les commissions bancaires sont bien prélevées sur le compte en banque de l’entreprise :

Commissions bancaires prélevées sur le compte en banque

là, le Chiffre d’Affaires bloqué par la banque durant des jours n’est PAS crédité sur le compte de l’entreprise :

CA bloqué par la banque

La banque était parfaitement informée de la situation :

Vue_comptes_bancaires

Bien entendu, tout ceci est normal pour le Tribunal de Commerce de Nantes qui a bien conscience des difficultés quotidiennes des entreprises.

Naturellement, une entreprise qui ne perçoit plus de Chiffre d’Affaires tout en continuant à payer ses charges est conduite à disparaître, à mourrir… à la barre du Tribunal de Commerce.

Il ne s’agit là que de quelques exemples, afin de faire comprendre la situation dramatique de la justice, qui ne protège plus les plus faibles, bien au contraire.

Les entreprises concernées ont été condamnées par le TC de Nantes à verser 3000€ chacune à la banque auteure de ces agissements.

Les dirigeants qui font appel à la justice, immobilisent des ressources financières et humaines ; ils attendent que leurs droits soient respectés, nullement qu’ils soient spoliés, et eux-mêmes humiliés par des décisions absurdes au regard des faits.

Il n’est pas non plus question de jeter l’opprobre sur toute une profession. La plupart des banques font un travail remarquable à l’égard de leurs clients professionnels et particuliers, notamment le Crédit Mutuel et la Société Générale.

Il n’est pas question non plus de confondre les magistrats qui lisent les conclusions des parties avec impartialité, éthique et probité avant de rendre leur décision, aux conséquences bien réelles…et les autres.

Quant à faire Appel des décisions corrélatives, on en est loin, la confiance envers la justice est quelque peu amoindrie.

CatégorieRéférencement (SEO)

Netlinking : comment optimiser votre SEO (référencement naturel) ?

Vous avez certainement entendu dire qu’il fallait travailler votre stratégie netlinking pour optimiser le référencement de votre site web.

SEO : référencement naturel

En effet, le netlinking, ou linking externe compte parmi les leviers SEO permettant d’améliorer le positionnement de vos pages web dans la page de résultat.

Qu’est-ce que le netlinking ? Comment le mettre en place ? Quelles sont les bonnes pratiques ?

Netlinking : une définition

Pour commencer, il s’agit de distinguer les trois types de liens existants :

  1. Les liens internes sont ceux qui lient les pages d’un même site web entre elles : ils aident les internautes à naviguer sur le site et les moteurs de recherche à le crawler ;

  2. Les liens sortants sont ceux que vous faites sur votre page web et qui pointent sur un autre site internet ;

  3. Les liens entrants sont ceux qui sont reçus par votre site depuis d’autres sites web.

Apporter de la crédibilité

Le netlinking, aussi appelé linking externe ou linkbuilding, consiste à collecter des liens entrants. Ces liens entrants, aussi appelés « backlinks », ont pour objectif d’apporter de la crédibilité au site vers lequel pointent les liens et d’améliorer sa visibilité.

Concrètement, il s’agit d’un lien hypertexte placé au sein du contenu d’un site web et pointant vers l’une de vos pages. Il est à distinguer du lien interne qui est aussi un lien hypertexte mais renvoyant à un contenu du même site.

La stratégie de netlinking est l’un des piliers du référencement naturel (SEO) car les backlinks permettent de transmettre de la popularité d’un site internet vers un autre.

En effet, une page contenant un lien vers votre site web contribuera à lui donner de la valeur car cela consiste à « valider » la crédibilité de votre contenu en y faisant référence. Ce gage de confiance appelé « trust flow », est pris en compte par les moteurs de recherche, et notamment Google, dans leurs algorithmes de classement des résultats.

En bref, plus un site web a de backlinks, plus il est reconnu populaire par Google.

Attention, ceci n’est vrai que si les liens entrants sont de qualité.

Qu’est-ce qu’un netlinking de qualité ? 

La prise en compte du netlinking dans les critères des algorithmes a évolué au fil des mises à jour de Google. En effet, auparavant c’était la quantité de liens qui étaient prépondérante, ce qui a conduit de nombreux sites web à multiplier les liens entrants (notamment via de l’achat de liens) sans vraie cohérence et rendant parfois plus difficile la navigation des utilisateurs.

Avec la mise à jour Pingouin en 2012, la donne a changé : Google privilégie la qualité des backlinks. Ainsi PageRank, l’algorithme utilisé par Google pour mesurer la popularité d’un site web, prend en compte le nombre de liens mais encore davantage le « score d’autorité » des sites supportant le lien (page source)  ainsi que la pertinence sémantique de ces liens.

Depuis lors, la création de liens est devenue stratégique et doit suivre quelques règles pour fonctionner. Un placement anarchique de liens peut même désormais être sanctionné.

Or, qu’est-ce qu’un backlink de qualité ?

La qualité d’un lien, et donc sa valeur, dépend de plusieurs paramètres. Voici quelques bonnes pratiques pour obtenir des liens entrants valorisés par Google : 

  • La page source et la page cible doivent traiter de la même thématique: ce peut-être des pages traitant du même sujet ou de sujets complémentaires ;

  • Le lien entrant aura plus de chance d’être valorisé s’il vient d’une page source populaire, c’est-à-dire bien classée dans la page de résultats : il s’agit de privilégier des pages au PageRank supérieur à 3 ou un «trust flow» supérieur à 40 ;

  • De même, privilégiez des pages sources contenant peu de liens sortants : en multipliant les liens sortants, le « link juice » est dilué entre chacun ;

  • Il faut prendre soin de faire correspondre l’ancre du lien, les mots-clés et les contenus : la cohérence sémantique est toujours privilégiée. Si le lien hypertexte est intégré sur le mot-clé « Pantalon d’été », évitez de le faire pointer sur une page consacrée aux vêtements de ski !

    Le texte de l’ancre (« anchor texte ») doit décrire le contenu de la page cible. Évitez donc également les liens sur des ancres génériques du type « Cliquez ici ».

  • Pour un netlinking de qualité, mieux vaut diversifier les sources de backlinks : 10 backlinks de sites web différents sont mieux valorisés que 10 venant du même site source.

La stratégie de netlinking fait partie du SEO « Off page » par opposition au SEO « On-page », c’est-à-dire l’optimisation de vos propres contenus.

4 stratégies pour améliorer le SEO grâce au netlinking 

Vous pouvez tisser votre stratégie netlinking de différentes manières. Nous allons d’abord vous indiquer les stratégies efficaces et vous alerter sur deux autres à éviter.

Comment créer des liens pointant vers votre site ?

⚠️ Évitez de créer beaucoup de liens entrants sur une courte durée. Mieux vaut préférer une acquisition de backlinks sur la durée.

1- Création de contenus de qualité

On appelle aussi cette technique le « linkbaiting ». Elle consiste à créer du contenu de qualité et à « attendre » que les liens se fassent naturellement. C’est-à-dire attendre que d’autres sites web relaient vos contenus car perçus comme ayant une vraie plus-value, sans en solliciter la création. L’acquisition naturelle de liens entrants nécessite de l’investissement en termes de temps et de travail, mais cette technique est très fiable.

Pour mettre en place une stratégie de contenu de qualité, vous pouvez faire appel à un rédacteur ou une rédactrice web. 

Une fois le contenu rédigé, faites-en la promotion sur vos réseaux sociaux afin qu’ils soient  partagés et observez la création de liens naturels qui s’ensuit !

C’est la technique de création de backlinks privilégiée par Google.

2- Proposition de partenariats

Autre technique : approcher des sites intéressants pour négocier un ajout ou un échange de liens. Dans ce cas, il s’agit de créer un partenariat avec un site dont la thématique est similaire ou complémentaire à la votre.

Il existe de nombreuses possibilités pour y parvenir :

  • Proposer à des influenceurs/blogueurs de tester vos produits en échange d’un lien sur votre site ;

  • Créer du contenu unique intégrant un backlink à proposer sur des blogs ou des médias en ligne ;

  • Faire la promotion de votre site web via des posts réseaux sociaux pour qu’ils soient relayés ;

  • Solliciter votre réseau pour qu’ils fassent des backlinks sur votre site (fournisseur, clients) ;

  • Proposer un échange de liens avec un site web dont la thématique correspond à la votre : attention cependant les liens réciproques ont moins de valeur (voir sans aucun effet) que les liens à sens unique pour les moteurs de recherche;

Deux choses à garder en tête lorsque vous sollicitez un partenariat :

  1. La thématique du site sollicité doit correspondre à la votre pour préserver la pertinence des liens ;

  2. Les liens doivent être obtenus de manière naturelle dans les contenus du site source : c’est pour cette raison que l’échange de lien n’est pas le développement de liens externes le plus efficace.

3- Activité sur d’autres blogs ou forums

Lorsque vous déposez un commentaire sur un blog, vous pouvez ajouter l’url de votre propre site, soit directement dans le message, soit dans les informations permettant de vous identifier.

Sur les forums, vous pouvez proposer un lien pointant vers vos pages web. Par exemple, vous créez un topic (sujet) sur le forum du routard pour parler de votre voyage en Crète et en profitez pour insérer un lien sur l’article afférent sur votre blog.

⚠️ Cette technique doit être utilisée avec parcimonie. En effet, déposer de trop nombreux commentaires avec votre url sur les blogs et les forums peut-être perçu comme un spam par les moteurs de recherche.

4- Achat d’un nom de domaine expiré

Autre solution: acheter un nom de domaine expiré.

Chaque mois des milliers de noms de domaines ne sont pas renouvelés par leurs propriétaires et redeviennent disponibles.

Des sites comme Kifdom, Domstocks ou encore Youdot les répertorient et les proposent à la vente. Pour vous aider dans votre choix, ils vous indiquent notamment : la disponibilité immédiate ou non du NDD, la date de l’ajout du domaine, son ancienneté, son « trust flow » ainsi que le prix.

Une fois que vous avez acheté votre domaine, vous pouvez simplement l’utiliser via des redirections 301 vers un site principal (toutefois cette pratique peut-être mal perçue par Google). Sinon, vous pouvez aussi l’exploiter en créant un nouveau site web.

Pourquoi acheter un domaine expiré est un levier pour votre stratégie de netlinking ?

Tout simplement parce que le nom de domaine possède déjà des liens externes !

⚠️ Toutefois, faites particulièrement attention à 2 points :

  1. Vérifiez bien la qualité des liens externes : notamment que les sites sources sont bien des sites de confiance, ceci pour ne pas vous être pénalisé par les moteurs de recherche ;

  2. Assurez-vous que le nom de domaine n’a jamais été pénalisé par Google sous peine de ne pas générer de trafic.

2 techniques de netlinking à éviter

✅ La technique la plus efficace pour augmenter le nombre de backlinks est celle du link-baiting (via la création de contenu qualitatif)

❌ En revanche, voici deux pratiques « black hat » à éviter ou à employer de manière stratégique et parcimonieuse :

  • L’achat de lien : un lien acheté est maintenant considéré par Google comme non sincère et ne donnant aucune information sur la qualité du contenu ni du site web source ;

  • Le PBN (Personnal Blog Network): il s’agit d’un réseau de blogs destinés à optimiser le SEO d’un site principal, qui se prête d’ailleurs très bien à l’achat de NDD expirés. Cependant, la création automatisée de blogs peut-être détectée par les moteurs de recherche et considérée comme une technique artificielle. Dans ce cas, les backlinks créés seront tout simplement ignorés.

Faire le suivi de votre netlinking

Dernier point à aborder : le suivi de votre netlinking. Pour que celui-ci reste efficace, vous devez vérifier périodiquement deux points : les liens pointant vers votre site et les éventuels liens cassés.

Les liens pointant vers votre site

Réalisez périodiquement un audit pour vous assurer que les liens entrants sur votre site constituent bien un levier d’optimisation SEO et non une pénalisation. En effet, certains backlinks sont réalisés spontanément dans le cadre du bait-linking et vous n’en avez pas nécessairement connaissance. Il est donc important de les vérifier.

Pour vérifier la qualité de votre netlinking, un certain nombre de paramètres doivent être pris en compte. Les principaux indicateurs à évaluer sont les suivants :

  • le nombre de liens entrants ;
  • la qualité et la pertinence des liens : quelle est la thématique du site source ?
  • Le nombre de domaines référents ;
  • la qualité du choix des ancres utilisées ;
  • la provenance des liens en fonction du pays etc.

Pour vous aider, réalisez ce suivi d’efficacité via des outils spécifiques comme Majestic, SEMrush, ou encore RM Tech d’Olivier DUFFEZ.

Les liens cassés

L’identification des liens cassés est indispensable car ceux-ci ont un effet négatif sur le référencement de votre site.

En effet, le processus de crawl n’aboutit pas lorsque le lien est cassé, ce qui empêche le moteur de recherche d’établir la pertinence du lien.

Outre l’effet négatif sur le SEO, les liens cassés sont également mauvais pour l’expérience utilisateur et peuvent ternir la réputation d’un site, entraîner un taux de rebond plus élevé ainsi qu’une perte de trafic.

Identifier les liens cassés et les réparer fait partie des opérations d’entretien du site web à réaliser régulièrement.

Profitez-en pour repérer les liens entrants qui n’aboutissent pas à cause de liens cassés sur le site source également ! Certes vous ne pouvez pas contrôler le fonctionnement des liens sur les sites référents mais certains outils vous permettent de procéder à leur identification manuellement. Vous pouvez ensuite prendre contact avec le propriétaire du site pour qu’il fasse le nécessaire sur son contenu.

Pour vous aider, vous pouvez utiliser les outils d’identification de liens cassés suivants :  Link Checker de W3C, Sreaming Frog, Wenu’s Link ou encore le plugin WordPress Broken Link Checker.

L’élaboration d’une stratégie de netlinking et le suivi de vos liens sont deux points à intégrer à une stratégie SEO efficace !

Sources ici et .

CatégorieE-commerceEntrepreneuriatMédiocrité & Contentieux

Ecommerce : Comment réussir ou faire échouer un projet entrepreneurial ?

Histoire d’entrepreneur

Aujourd’hui, je souhaite vous raconter une histoire d’entrepreneur qui peut vous aider dans la réalisation de vos projets entrepreneuriaux.

Ecommerce-reussite

En 2009, je dirigeais la société Motoligne qui commercialisait des pièces et des accessoires pour les motos. Je raconte toute l’aventure dans le Livre E-commerce paru l’année dernière.

A cette époque, un de mes amis traversait une période très compliquée depuis le décès de son père. Il avait quitté sa compagne, son boulot, puis dilapidait le peu que lui avait laissé son père dans des sorties en boîtes de nuit Nantaises.

Lancement d’une activité E-commerce

Alors que nous discutions au sujet de ses projets et notamment de son avenir, je lui faisait part que s’il le souhaitait, je pouvais l’aider à se remettre en selle au travers d’une activité E-commerce que j’avais en tête.

Je résume car les détails sont dans le livre, mais il était partant.

Quelque temps plus tard, une société était immatriculée avec pour activité la vente par correspondance de pièces, accessoires et consommables pour aspirateur.

Rapidement, le site internet fût lancé et les premières commandes enregistrées.

C’était assez hallucinant de voir la volumétrie sur ce secteur d’activité, d’observer les commandes de sacs aspirateur qui tombaient sans présence majeure sur la toile.

Le panier moyen était faible, mais le taux de conversion élevé.

La réussite du projet ou son échec

13 ans plus tard, en 2022, L’informateur Judiciaire publie un article sur l’entreprise Aspireflex leader français dans la vente de sacs aspirateur sur internet.

Aspireflex

Alors que c’est-il passé en 13 ans pour qu’Aspireflex soit au TOP aujourd’hui et pour que l’activité de mon « ami » de l’époque ait disparu ?

En effet, il s’agissait de la même idée, des mêmes produits, certainement de fournisseurs similaires et des mêmes conditions tarifaires

C’est l’exécution du projet qui a été différente.

« L’ami » en question ne travaillait pas. Il venait au bureau à 10h30 et repartait à 12h00. Il venait rarement l’après-midi et ne télétravaillait pas une fois rentré chez lui. Sauf à considérer l’actualisation d’une page de commandes comme une tâche 😉

Puis, il se lamentait dès qu’une journée était mauvaise en terme de CA au lieu de déployer de nouveaux leviers d’acquisition. Il méprisait le SEO et le SEA, et ne remettait pas en cause sa vision du business lorsque la croissance s’amenuisait.

La boîte fût pliée en trois ans. Beaucoup pensaient que ça arriverait plus tôt.

C’était véritablement un gâchis évitable par le simple fait de se mettre au travail.

Lorsque je vois la réussite de Franck RAFFIN sur le même sujet que celui de mon ami, je comprends pourquoi il a une entreprise pérenne et en croissance à la différence de cet ami resté… oisif.

Quels sont les enseignements à tirer de cette aventure ?

Qu’un même sujet peut-être traité différemment, mais avec une finalité bien différente.

Que la paresse et l’oisiveté, ne sont pas des valeurs ni des facteurs de réussite.

IMPORTANT : MAJ du 25 Août 2023

Nous recevons de nombreux messages au sujet du site Aspireflex qui semble rencontrer des difficultés. En outre, un avertissement de la DDPP44 sur le site d’Aspireflex, incite à la plus grande prudence quant à cette enseigne :

Aspireflex - DDPP44

La réussite d’un projet entrepreneurial, quel qu’il soit, passe inéluctablement par la satisfaction de la clientèle concernée. Il semble que pour ce dernier point, des choses soient à corriger chez Aspireflex.

CatégorieJustice et réglementation

RGPD : Comment mettre en conformité un site internet en 2 min ?

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RGPD : Quelles sanctions ?

Les sanctions infligées par la CNIL sont de plus en plus fréquentes et importantes envers les entreprises contrevenantes au RGPD.

Exemples :

Un hôtel condamné à 600 000€ d’amende par la CNIL en 2022 pour : Défaut d’information, non respect du droit d’accès, non respect du droit d’opposition, sécurité et confidentialité des données.

Une société de location de véhicules condamnée à 175 000€ d’amende par la CNIL en 2022 pour :
Inadéquation, non pertinence et caractère excessif des données Durée de conservation Information des personnes.

Solutions de mise en conformité

S’il existe des solutions pour mettre en conformité son site internet et la gestion de la collecte des données effectuées par vos soins, aucune n’était véritablement recommandée par un professionnel du droit, un avocat ou un magistrat. En sus, la fin annoncée des cookies tiers impose de se prémunir contre toute violation du RGPD en la matière.

Gestion des cookies

La solution de gestion des cookies, Bandeau-Cookie.com est conforme au RGPD, simple à utiliser et à mettre en place et recommandée par Maître RIVAIN, Avocat spécialiste du RGPD.

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En outre, Bandeau-Cookie.com est GRATUIT, qu’attendez-vous ?

JE METS MON SITE INTERNET EN CONFORMITÉ

Enfin, les mentions légales doivent être correctement affichées et disponibles sur votre site internet.

 

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