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Ecommerce : Baisse de croissance, Amazon change de CEO

Après 26 ans à la direction d’Amazon, Jeff BEZOS laisse sa place à son successeur Andy JASSY qui a pris ses fonctions le 5 juillet dernier. Jeff Bezos est un nom connu de tous et il a permis à Amazon de passer du statut de start-up à celui de N°1 mondial du E-commerce, la valorisation actuelle d’Amazon est supérieure au PIB du Canada.

Depuis son entrée au sein de la société il y a 24 ans, Andy JASSY qui succède à Jeff BEZOS en tant que directeur général d’Amazon (CEO) a d’abord intégré le service marketing puis a gravi les échelons pour devenir PDG d’Amazon Web Services en 2016, son service de cloud.

Malgré une hausse du Chiffre d’Affaires de + 27% au deuxième trimestre, la croissance d’Amazon se tasse un peu. En effet, Amazon progressait de + 44% au premier trimestre, alors que la pieuvre de Seattle prévoit une hausse de seulement + 16% de ses ventes liée à la période estivale et aux congés d’étés des consommateurs. Les causes de cette baisse de la croissance sont principalement issues de l’assouplissement des restrictions liées à la crise sanitaire. La réouverture des magasins physiques de manière progressive a entraîné un ralentissement des ventes sur internet.

Plus en détail, la majorité des profits d’Amazon proviennent du cloud d’AWS (filiale d’Amazon) qui loue aux entreprises de l’espace pour du stockage de données. Cela correspond à 12% des revenus totaux mais représente plus de la moitié du résultat opérationnel.

Cette activité ne connaît pas la crise et affiche une croissance de + 37% cette année contre + 29% en 2020. Cela permet de financer les activités moins rentables d’Amazon et surtout de pallier aux coûts élevés de livraison.

En parallèle, Amazon continue d’investir et a notamment racheté les studios hollywoodiens MGM et acquis des droits sportifs (Roland Garros ou la Ligue de football par exemple).

A l’instar de l’activité cloud d’AWS, l’activité de la publicité en ligne est en pleine expansion grâce à son énorme base de données pour générer des messages ciblés. Cependant, Google et Facebook restent leaders sur le marché pour l’instant mais l’activité pourrait croître de + 30% en 2021.

Côté nouveauté, c’est confirmé Amazon va ouvrir un nouveau centre de proximité au nord de Toulouse dans la zone d’Eurocentre au sein d’un bâtiment d’environ 7000m2 déjà construit. Ceci dans le but de venir compléter l’entrepôt déjà présent depuis 4 ans à Langlade au sud de Toulouse. Il n’y a pour le moment pas de date annoncée pour son ouverture.

Ce ne sera pas un centre de distribution ni un centre de tri mais bien une agence de livraison pour desservir le nord de la ville et son agglomération ainsi que les départements limitrophes comme le fait le premier entrepôt.

Le but recherché c’est de pouvoir répondre au mieux aux besoins des clients, de réduire la distance des livraisons et les coûts engendrés. De plus, cela permet de renforcer le lien avec les parties prenantes primaires (les clients, les partenaires extérieurs, les transporteurs).

L’arrivée de ce nouvel entrepôt permettra la création de 50 emplois directs en CDI et d’environ 250 emplois indirects par l’intermédiaire des sous-traitants comme par exemple les entreprises de livraison.

Amazon ne compte pas s’arrêter là puisque son objectif est d’ouvrir un centre de distribution et 5 à 9 agences par an en France.

Sources ici et et notamment l’article paru dans Le Revenu N°1652

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[concours] Qui sera élu personnalité Ecommerce de l’année ?

Trophes_E_commerce


Les 10 personnalités candidates à l’élection de la personnalité E-commerce 2021 sont enfin dévoilées pour cette 14ème édition qui se déroulera le 16 novembre prochain. Cet événement a été créé pour récompenser les candidats qui ont œuvré au rayonnement de l’e-commerce au cours de l’année.

Portraits des 10 personnalités E-commerce en lice pour le titre.

Laurent de la Clergerie

GROUPE LDLC

Diplômé en 1994 en sciences économiques et ingénieur en électronique, Laurent DE LA CLERGERIE est parti faire son service militaire.

Au retour de son service militaire, il cherche du travail dans sa branche. Pour lui, le développement du e-commerce c’est l’avenir. Il tente donc sa chance et commence à acheter et revendre du matériel informatique. Il est soutenu par sa famille et en 1996 le Groupe LDLC est créé. C’est une affaire familiale puisque deux de ses frères et sœurs décident de s’engager avec lui dans l’entreprise. La start-up se développe très rapidement. 

En 1997, il gagne un prix “Chasse aux trésors” organisé par Paris Match. Il réinvestit tout l’argent gagné dans la jeune entreprise.

Le Groupe n’a fait que croître depuis sa création et en 2012, l’entreprise de se lancer dans la franchise.

Depuis 2015, le Groupe se diversifie en proposant une enseigne de vente puériculture “L’armoire de bébé”.

En 2016, le Groupe rachète son principal concurrent Matériel.net.

Le Groupe est reconnu comme modèle en matière de bien-être au travail.

Elise DUCRET

L’ORÉAL

Elise DUCRET a intégré le groupe l’Oréal il y a maintenant 22 ans en tant qu’assistante de direction au recrutement international. Elle s’est elle-même formée sur la création de base de données et de sites internet et s’est vu être promu à la tête de la direction digitale pour gérer la transition digitale du Groupe.

Gary ANSSENS

ALLTRICKS

Gary ANSSENS s’est d’abord spécialisé dans le domaine du sport en préparant des études de staps. Suite à un accident grave en VTT qui lui a fait perdre l’usage de la marche pendant quelques temps, il décide de créer sa première entreprise Smallx.com puis une 2ème pendant sa période de convalescence. 

Puis, il crée sa 3ème entreprise alltricks.com sous le nom commercial de AVANIS. Elle est spécialisée dans le domaine des équipements du vélo, de la course à pied et de l’outdoor d’été. A cela vient s’ajouter une création de marketplace et la création de plusieurs marques spécialisées dans le textile du vélo. L’entreprise continue de croître avec une croissance de 62% en 2019 et 2020. L’arrivée de Décathlon au capital de l’entreprise permet l’accroissement de l’activité et le développement de plusieurs boutiques physiques.

Récemment il a racheté l’entreprise TROC VELO et malgré son emploi du temps chargé, il a créé la FRENCH TECH PARIS avec 7 autres co-fondateurs en 2019.

Fanny MOIZANT

VESTIAIRE COLLECTIVE

Diplômée d’une école de commerce et de l’institut français de la mode, Fanny Moizant créée en 2009 avec six autres cofondateurs l’entreprise Vestiaire Collective spécialisée dans le secteur de la vente à distance. Elle s’est implantée à Hong-Kong après Paris et à Londres pour développer l’activité de l’entreprise sur le continent d’Asie-Pacifique. 

Elle s’engage et soutient les associations caritatives telles que The Or Foundation (laboratoire de recyclage textiles), Stonewall (militer pour les droits LGBT) et attache une importance à l’augmentation du nombre de femmes dans l’univers de la technologie. L’entreprise est composée de 60% de femmes.

Romain ROULLEAU

KINGFISHER

Romain ROULLEAU est le spécialiste du e-commerce qui depuis deux ans à impulser la transformation digitale au sein du Groupe Kingfisher France et la culture digitale au sein de ses équipes avec la collaboration de plusieurs start-ups.

Elodie PERTHUISOT

CARREFOUR

Elise PERTHUISOT fait partie du Groupe Carrefour depuis mai 2018 en tant que directrice marketing clients qui lui a permis de découvrir le secteur de la grande distribution. Un an et demi plus tard, elle occupe les fonctions de directrice exécutive du e-commerce et supply chain pour la France en mettant à profit ses connaissances dans le digital afin d’impulser de nouveaux projets grâce à ses connaissances dans le digital avec l’objectif de 2000 points de vente e-commerce, contractualiser avec de nouveaux partenaires et le développement de “Carrefour Links”, un nouveau secteur centré sur la data.

Cathy COLLART GEIGER

PICARD SURGELÉS

Après 26 ans en tant que directrice au sein des enseignes Auchan et Intermarché dans le secteur de la grande distribution, Cathy Collart Geiger devient la nouvelle présidente directrice générale de l’entreprise Picard Surgelés en juin 2020. 

A son arrivée, l’entreprise n’était pas développée en matière de canaux digitaux de distribution. Elle a donc impulsé des changements pour accompagner la transformation digitale au sein de l’entreprise (multiplication des canaux de courses, déploiement des click and collect. Grâce à ces changements, le chiffre d’affaires du e-commerce a doublé depuis son arrivée.

Guillaume LACHENAL

MILIBOO

Guillaume Lachenal n’est pas à sa première participation à l’élection de la personnalité du e-commerce puisqu’en 2009 il est arrivé second à l’élection et a donc obtenu le prix Argent. Il n’est pas un entrepreneur ou un dirigeant commes les autres avec un diplôme d’une grande école. Mais il a la fibre d’entrepreneur et un très bon sens des affaires.

En 2005, il crée l’entreprise Miliboo spécialisée dans la vente de meubles à distance. Il a supprimé toute la chaîne intermédiaire de production et conçoit donc ses produits sans l’intervention de tiers. 

En 2015, l’entreprise entre en Bourse.

En 2020, l’entreprise réalise un bénéfice net de 1,8 million d’euros. Les ventes en ligne ont bondi de 37% avec un chiffre d’affaires réalisé de 41 millions d’euros.

Guillaume Lachenal prévoit un agrandissement du nombre de boutiques en France et souhaite développer plus en détails certains de ses produits.

Nathalie MESNY

MONOPRIX ONLINE (SARENZA)

Dans le secteur du digital, Nathalie Mesny est bien connue. Elle a pu apporter ses compétences et ses connaissances pour évoluer le e-commerce dans diverses entreprises telles que Unilever, Carrefour, Oxybul Eveil & Jeux. Elle a pris ses fonctions au sein de Monoprix Online qui regroupe les activités de e-commerce des enseignes Monoprix et Sarenza.

En 2008, elle a fondé sa propre société de conseil, le cabinet Brand & Retail où elle accompagne des entreprises industrielles ou des retailers. Le cabinet conseille les entreprises en matière de marketing et distribution.

Jan LÖNING

OSCARO

Jan Löning a travaillé depuis une trentaine d’années dans différents secteur du commerce tels que la FNAC, YVES ROCHER mais aussi dans l’univers automobile dans le secteur de la location de voitures chez AVIS et EUROPCAR.

En 2019, il prend les fonctions de directeur général chez Oscaro le revendeur de pièces automobiles avec un défi de taille de relever l’entreprise après avoir été racheté par Parts Holdings Europe. Ses principaux objectifs ont été d’améliorer la relation client et d’accompagner la transformation digitale notamment en créant une marque de distributeur spécialisée dans les huiles de moteurs.

Récemment, il a quitté ses fonctions de directeur général mais ses deux ans de mandat ont permis d’impulser de nouveaux leviers qui ont contribué à l’évolution des activités de l’entreprise.

Sources ici et .

 

 

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Ecommerce : Comment le secteur pharmaceutique se digitalise ?

La France dispose du plus grand nombre de pharmacies par habitant avec 35 officines pour 100 000 habitants, alors même que le Danemark, par exemple, n’en dispose que de 6. En outre, dans notre pays, 120 pharmacies ferment leurs portes chaque année.

Depuis la pandémie le E-commerce s’est considérablement développé et les achats en ligne se sont accrus. Pour les pharmacies, la vente en ligne est strictement réglementée. Il n’est par exemple pas possible d’acheter en ligne des médicaments disponibles uniquement sur ordonnance. De même, une pharmacie qui a digitalisé son offre par la mise en place d’un site E-commerce doit impérativement être ouverte au public et disposer d’un stock suffisant de médicaments en vente sur le site. Le stock doit être situé à proximité de la pharmacie. Ce qui exclut les entrepôts dédiés et les pure players.

A noter qu’il est tout à fait possible depuis Mai 2021 pour une pharmacie d’avoir recours à la publicité digitale. Une révolution !

Cependant des points réglementaires comme le RGPD sont au coeur de la digitalisation des pharmacies. Le déploiement en 2022 de « Mon Espace Santé » devrait permettre d’augmenter le recours au digital dans le secteur médical. Il est toutefois essentiel que les officines qui souhaitent recourir au E-commerce pour développer ou maintenir leur activité respectent la réglementation propre au digital et à la Vente à distance (traitement des données personnelles, délai de rétractation, et traitement des litiges éventuels notamment).

Le E-commerce pour les pharmacies c’est d’abord une complémentarité de l’offre proposée en boutique, la possibilité d’effectuer des ventes complémentaires, de désengorger les flux de clients dans le magasin (et corrélativement d’augmenter la satisfaction client), et cela répond partiellement au sujet de la désertification médicale.

Source : ici

 

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Pourquoi peut-on être infecté par le COVID malgré le vaccin ?

Le docteur Marion LAGNEAU répond simplement à cette question par des éléments factuels et un raisonnement simple :

« Le principe d’un vaccin, qu’il soit à #ARN ou autre vecteur, est de tromper le corps en lui faisant croire à une attaque de l’ennemi, afin qu’il fabrique des anticorps pour se défendre en cas de véritable attaque ultérieure.

On s’attendrait logiquement à ce que le vaccin antiCovid empêche l’infection du coronavirus , puisque le corps va se défendre dès qu’il va repérer le virus. C’est la qu’il faut intégrer un paramètre supplémentaire sur l’immunité.

Il y a une double modalité d’immunisation contre une maladie :

L’immunité humorale = des anticorps dans le sang, chargés d’attaquer l’ennemi quand il est dans la maison.

L’immunité cellulaire = des anticorps dans la paroi muqueuse, chargés de bloquer l’entrée de l’ennemi.

Le Covid entre dans la maison par les voies respiratoires, nez, gorge, puis il descend vers les poumons.

Pour l’empêcher de se fixer sur les parois du nez et de la gorge, il faudrait que les anticorps de l’immunité cellulaire soient actifs dès que le virus est repéré.

C’est la que ça [coince] en réalité : l’immunité cellulaire muqueuse conférée par le vaccin n’est pas bonne. Ce qui veut dire que le vaccin n’empêche pas le Coronavirus de se fixer dans le nez et la gorge des vaccinés. C’est une des conclusions des essais cliniques fin 2020.

En revanche, la fixation du virus dans la gorge d’un vacciné active de suite son immunité humorale sanguine. Le temps que le virus descende dans les poumons, les anticorps neutralisants ont pu se mettre en ordre de bataille pour lutter contre l’infection.

Quand le virus arrive au niveau pulmonaire d’une personne vaccinée, le processus immunitaire s’est mis en place, et empêche alors le virus de détruire les alvéoles pulmonaires . L’infection reste bénigne au niveau respiratoire.

J’espère que cette explication vous permet de comprendre la raison finalement assez simple, qui explique qu’on peut avoir une infection nasale et pharyngée à Coronavirus après le vaccin, mais pas une infection pulmonaire grave.

Et que le fait d’être infecté malgré la vaccination n’est pas une raison de rejeter le vaccin, car, s’il n’empêche pas la contamination, le vaccin confère néanmoins une protection évidente contre les formes graves pulmonaires, celles qui peuvent tuer ou laisser des séquelles.

Autre point, la troisième dose a pour objet d’essayer d’augmenter au max cette immunité humorale, pour éviter les formes sévères, mais il est probable qu’elle n’empêchera pas plus l’entrée du virus.

De nombreux laboratoires travaillent activement sur la recherche d’un vaccin par voie nasale, qui activerait l’immunité cellulaire, bloquant alors de manière forte l’entrée du virus dans le nez et la gorge. Ainsi, on conférerait une immunité digne de ce nom avec une double combinaison : vaccin par voie intramusculaire pour générer l’immunité humorale + vaccin nasal pour l’immunité cellulaire des muqueuses.

Il faut être patient, et faire confiance à la recherche scientifique.

De plus, on l’a vu pour la grippe, on le voit aussi pour le coronavirus : les virus mutent, rendant la lutte encore plus compliquée.

Le but de tout cela est au final de transformer LE Covid 19 : infection potentiellement très grave en rhume banal, et on a déjà fait une bonne partie du chemin avec les premiers vaccins.

Plus tard, un jour, quand cette histoire sera dans les livres d’histoire, on pourra raconter qu’on l’a vécue, qu’on a été les premiers à oser tester de nouvelles modalités de traitement qui auront conduit à une succession de découvertes pour plein d’autres maladies….

Oui, ce vaccin aura des effets à long terme, indéniablement : il aura fait avancer à vitesse éclair la recherche dans les domaines des infections, mais aussi du cancer. Non, ce vaccin ne donnera pas le cancer ! Il est au contraire précurseur des futurs traitements anticancer ! »

CatégorieMédiocrité & Contentieux

Les propos inacceptables de Roland PAINGAUD

Certaines personnes sont certainement mal dans leur tête ou dénuées de toute morale, éthique, éducation, culture, politesse, à l’instar de Roland PAINGAUD, dont les propos tenus un peu partout sur la toile sont consternants.

Des insultes, des textes orduriers et diffamatoires, à vomir. Tout est la faute des autres, jamais la sienne, Monsieur Roland PAINGAUD ne respecte pas non plus les décisions de justice et la loi. Florilège…

La charogne de la grande distribution

Roland PAINGAUD à propos de l’Intermaché d’ENTREVAUX (04)

Commentaire de Roland Paingaud (à chacun de se faire une opinion) :

Commentaire de Roland Paingaud (à chacun de se faire une opinion) :

Commentaire de Roland Paingaud (attention, certains propos sont pénalement répréhensibles et font l’objet de plusieurs signalements) :

 

Commentaire de Roland Paingaud :

 

Voilà les pensées portées par ce monsieur. Ces propos sont inacceptables, les signalements sont en cours sur Pharos.

Nous nous sommes seulement arrêtés à la page 1 des résultats de recherche… 

Et ce monsieur PAINGAUD nous spamme depuis des semaines sur le blog à propos de Trustpilot (une entreprise danoise qui ne respecte pas la loi Française et a été condamnée pour cela au Tribunal de Commerce de Paris.) car il juge que cette entreprise est irréprochable et que ce sont les « méchantes entreprises Françaises » qui manipulent les avis qu’il dépose…On rêve !

CatégorieTutos pratiques

Apple : Comment changer l’application par défaut sur Mac ?

Rien de plus agaçant d’être constamment en train de fermer une application non sollicitée qui s’ouvre automatiquement. Sur Mac par exemple, certains fichiers s’ouvrent de manière automatique avec des applications Apple, alors que celles-ci ne satisfont pas l’utilisateur.

Afin de changer l’application par défaut qui ouvre le fichier, il suffit de suivre les étapes suivantes :

1. Effectuez un clic droit sur le fichier concerné

comment changer l'application par défaut sur Mac

2. Cliquez sur « Lire les informations » et vous obtenez cette vue :

Comment faire pour changer l'application d'ouverture d'un logiciel sur Mac

3. Au niveau de « Ouvrir avec : » sélectionnez l’application Mac souhaitée pour ouvrir le fichier sélectionné.

2. Cliquez sur "Lire les informations" et vous obtenez cette vue :

4. Cliquez ensuite sur « Tout modifier » afin que l’ensemble des fichiers concernés s’ouvrent dorénavant avec l’application Mac sélectionnée par vos soins.

changer d'application d'ouverture sur Mac

 

 

 

CatégorieMédiocrité & Contentieux

MAUVAIS PAYEUR et MAUVAISE FOI : SMB CLEANING NETTOYAGE et PROPRETE – Shahil BOODHOYE

Une tentative d’escroquerie ?

Une fois n’est pas coutume, une nouvelle tentative d’arnaque d’un dirigeant, Monsieur Shahil BOODHOYE qui dirrige entre autre la société SMB nettoyage.

Des avis clients mensongers visant à nuire

Ce Monsieur, grandiloquent dans ces avis clients mensongers et bourrés d’inexactitudes, se permet de venir donner des leçons alors même que Shahil BOODHOYE ne paie pas ses factures et met en difficulté ses prestataires.

Une usurpation d’identité

Shahil BOODHOYE, un chef d’entreprise (qui n’en a que le nom) est né en 1992 et agit tel un escroc sur le territoire Français, jusqu’à usurper l’identité d’autres dirigeants. (Nous avons les éléments)

Des impayés récurrents

Depuis le mois d’Août 2021, Monsieur Shahil BOODHOYE « oublie » de payer chaque mois la facture correspondante aux services qu’il utilise quotidiennement. S’il a régularisé une première fois sa situation, il refuse depuis de payer ce qu’il doit et se permet en plus de publier des propos mensongers sur la toile. Ce post est une première réponse à ces agissements déloyaux.

D’une part, lorsqu’on est incapable de payer les services utilisés, on ne les souscris tout simplement pas.

D’autre part, lorsqu’on est continuellement en dehors de la réglementation, on s’abstient de faire tout commentaire, on se met en conformité en payant les sommes dues et on fait profil bas.

Une réponse judiciaire

Ce n’est pas ce qu’à choisi Shahil BOODHOYE qui mécontent d’avoir eu son  compte suspendu, nous inonde de propos abjects et MENSONGERS.

La mauvaise gestion est évidente lorsqu’un dirigeant ne va même pas chercher un LRAR qui est adressé au siège de son entreprise :

Nous avons d’ores et déjà mandaté nos conseils sur le cas de ce monsieur 😉

 

 

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Loisirs : 250 000 nouvelles piscines en 1 an, un secteur en croissance de + 55%

La pandémie a accentué le désir des français pour leur maison et leur extérieur. La france comptait déjà plus de 3 millions de piscines, c’est 800 000 piscines de plus en 4 ans, un record et le secteur peine à recruter.

Pour autant, certains professionnels du métier s’affranchissent de toute éthique et de tout sérieux dans leur travail à l’instar de « Rêve de Piscine à Carquefou » où le « rêve » se transforme rapidement en cauchemar :

  • Délais non respectés
  • Incidents majeurs sur le chantier

    > Exemple 1 : Lors de la livraison de la coque de la piscine par Rêve de Piscine à Carquefou, la coque d’une tonne accrochée par des sangles à une grue mobile est venue percuter à 2 reprises et violemment le mur de la maison.

    Cela a occasionné des dégâts visibles et invisibles nécessitant une expertise du bâtiment. Or, Rêve de Piscine à Carquefou ne s’est pas encombré de faire une déclaration à son assurance, de même que le fabriquant Alliance Piscines.

    > Exemple 2 : Lors de l’installation de la PAC (Pompe A Chaleur), l’installateur Rêve de Piscine ne pose pas la question de savoir s’il est en capacité de poser cette PAC et de la faire fonctionner correctement.
    Ainsi, la PAC n’a pas été efficiente pendant tout le début de la saison.

    En contactant l’entreprise Rêve de Piscine afin qu’ils résolvent le problème de fonctionnement d’une installation faite quelques semaines plutôt par leurs services, la réponse obtenue est un délai incompressible de 15 jours !

    Le jour venu, le technicien a 2 heures de retard, reste 10 min et adresse ensuite une facture de 150€ ! Après son départ, la PAC n’est toujours pas en état de marche.

    Un constat d’huissier est effectué pour figer la situation à date.

    S’ensuivent des échanges lunaires avec Monsieur Philippe RICAUD le gérant de Rêve de Piscine qui rejettent constamment les manquements de ses salariés sur le compte de ses clients.

    Mais le constat est là : le travail n’a pas été effectué correctement, la piscine n’est pas conforme et la maison a été endommagée par les interventions de Rêve de Piscine.
  • Le suivi du chantier n’a pas été sérieux dès le départ.

Afin de ne pas se trouver importuné constamment par les intervenants du chantier, une architecte (Phala HENG) avait été mandatée pour coordonner les artisans qu’elle-même avait sélectionné.

Or, rien ne s’est passé comme cela aurait dû.

Exemple 3 : Le carreleur choisi par Phala HENG a du intervenir à 3 reprises pour refaire les joints qui n’étaient pas conformes et même dangereux pour l’installation (morceaux de silicone qui se détachaient et se trouvaient ensuite dans le circuit de filtration) rendant la piscine inutilisable pendant la seule période de l’année où cela est possible :

 

Seulement pour le pisciniste (Rêve de piscine) et pour l’architecte, tout cela semble normal.

AUCUN constat n’a été effectué lorsque la coque à violemment percutée la maison à deux reprises (une faute professionnelle incontestable) ;
AUCUN engagement de réparation du mur n’a été pris par Rêve de Piscine ou Phala HENG ;
AUCUNE intervention des techniciens de Monsieur Philippe RICAUD n’a été en mesure de faire fonctionner correctement la PAC ;
AUCUNE prise de conscience de la médiocrité du travail réalisé ;
AUCUNE formation n’a été dispensée sérieusement pour l’utilisation des matériels et des produits vendus par Rêve de Piscine ;
AUCUNE proposition d’indemnisation, ni excuses, rien. Le client doit se débrouiller par ses soins pour résoudre les problèmes relevés.

Des mois plus tard, malgré des plaintes, des demandes d’intervention, et plusieurs mises en demeure, aucune démarche n’a été effectuée par les protagonistes de ce dossier.

Voilà comment travaille Rêve de Piscine à Carquefou !

Puis que dire de l’architecte, Madame HENG qui semblait sérieuse lors des premiers contacts ? Qu’on ne gère pas un chantier comme cela, laissant des intervenants endommager la maison du client pour ensuite refuser tout constat, toute réparation et toute indemnisation.

Pour résumer ce témoignage et le mécontentement du client, il est à noter qu’actuellement ces artisans n’en n’ont rien à faire de leurs clients, allant jusqu’à préciser « Ce n’est pas grave si nous n’avons plus de chantiers avec cet architecte, nous sommes débordés de demandes! « .

En gros c’est un permis de médiocrité. Evitez-les !

Source : ici

CatégorieRéférencement (SEO)

SEO : Les 30 idées reçues sur le référencement naturel

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Idée reçue n°1 : Atteindre la position 0 en 1 semaine, c’est possible !

C’est beau d’avoir des rêves ! Mais pour réussir à positionner votre site web tout en haut de la SERP, il vous faudra du travail, et sans doute un peu de patience. A moins que vous soyez (vraiment) archi-seul sur un sujet de niche. 

Idée reçue n°2 : Le SEO doit être privilégié à l’UX

L’UX, le nom de code pour l’expérience utilisateur, elle doit être la plus optimisée qui soit, dans le cas contraire, cela impacte le SEO négativement.

Idée reçue n°3 : La vitesse de chargement du site a un impact majeur sur le SEO

Le temps de chargement est important pour l’internaute qui aura tendance à partir de votre site s’il est trop lent. Google l’a ainsi intégré dans ses « signaux web essentiels », qui modifient l’
algorithme de classement de Google en 2021. Toutefois la vitesse de chargement n’a qu’un impact mineur sur le ranking, la qualité de contenu restant prioritaire.  

Idée reçue n°4 : L’ordre des Hn importe peu

Vous choisissez les titres de vos paragraphes en fonction de leur rendu sur votre site internet ? Le H4 avant le H3 parce qu’il est plus gros ? Alors arrêtez cela tout de suite et soyez logique !
Le H1 est le titre du contenu, il ne doit pas se trouver dans le corps du texte. Ensuite, vous déroulez : H2, H3, H4 … Sinon vous pouvez parier que les moteurs de recherche n’y comprendront rien !

Idée reçue n°5 : L’url ? On s’en fout !

Pour comprendre de quoi parle votre contenu, Google crawle d’abord le Title, puis directement l’url. Avoir une bonne structure d’url peut aider votre SEO. La première partie est constituée du nom de domaine, mais la seconde est modifiable. C’est celle-ci que vous devez optimiser.On parle de ré-écriture d’url ou d’url rewriting.

Idée reçue n°6 : Il faut se placer sur un mot-clé concurrentiel

Non ! Au contraire, vous placez sur une requête à forte volumétrie ne vous apportera pas plus de trafic puisque justement … elle est concurrentielle ! Visez plutôt des mots-clés à moyen volume et à longue traîne. Par exemple, plutôt que « écharpe », privilégiez « écharpe verte en laine de lama »

Idée reçue n°7 : Il faut ne faut pas utiliser la balise Meta Keyword

Une balise <meta> définit les différents types de métadonnées d’une page web. Or la laisser vide c’est laisser Google déterminer les mots-clefs qui sont les plus pertinents pour la page en question. De la même manière, si les moteurs de recherche tiennent peu ou pas compte de ces informations, ne pas les renseigner c’est déjà ne pas respecter le minimum nécessaire. Le SEO n’a jamais été un travail de feignant !

Idée reçue n°8 : Renseigner sa méta-description est indispensable pour le SEO !

Oui vous devez impérativement la remplir, celle-ci doit accrocheuse et contenir des mots-clés pertinents. Car la méta-description doit inciter l‘internaute à cliquer sur votre lien ! De plus, si vous ne la renseignez pas correctement vous-même, Google se fera un plaisir de s’en charger à votre place.

Idée reçue n°9 : Un contenu peut viser plusieurs thématiques

Si vous faites ça, vous allez embrouiller les moteurs de recherche. Pour un contenu, visez une seule thématique et travaillez tout le champ sémantique autour de celle-ci.  

Idée reçue n°10 : La première page c’est le Graal !

Non. Comment ça « non » ? Non. Le Graal, ce n’est pas la première page, c’est le « top 3 » ou Triangle d’or. Au-dessous, c’est ce que l’on appelle la « zone grise », celle où les internautes ne se rendent presque jamais et où le CTR est très faible. 

Idée reçue n°11 : Les images c’est juste pour faire joli

Les images peuvent faire joli, mais vous ne les insérez pas dans votre contenu uniquement pour ça. En effet, il est indispensable de les optimiser en renseignant le titre et la balise Alt (texte alternatif). Optimiser votre image vous permet de ressortir sur l’onglet Google Images mais représente également une grande aide pour les personnes malvoyantes qui parcourent votre site en audio-description. De plus un moteur de recherche comme Google est « aveugle » par conséquent vous devez lui indiquer ce qu’il voit ou doit voir 😉

Idée reçue n°11 : Écrire en gras, c’est juste pour faire joli

Pas seulement ! En écrivant en gras les mots ou expressions importantes de votre contenu, vous attirez à la fois l’attention de votre lecteur et celle des moteurs de recherches, et facilitez la lecture de votre contenu. 

Idée reçue n°12 : le HTTPS c’est juste pour rassurer l’internaute

Le HTTPS rassure également les moteurs de recherche. En effet, depuis 2018, les sites qui ne sont pas en HTTPS sont même pénalisés par Google. A critères similaires, le site en HTTP sera toujours moins bien classé dans la page de résultats.

Idée reçue n°13 : Le SEO c’est gratuit !

On oppose souvent le SEA (référencement payant) au SEO (référencement naturel). Pourtant, au risque de vous décevoir, le SEO demande a minima du temps et beaucoup de travail. Souvent, il passe par des prestations d’audit, d’optimisation et de rédaction de contenus auprès de professionnels. Il n’a donc rien de « gratuit ». 

Idée reçue n°14 : Mon site doit avoir un maximum de backlinks

Oui, les backlinks (liens entrants) sont très importants et peuvent booster votre SEO … à condition qu’ils émanent de site de qualité en lien avec la thématique de votre propre site web

Idée reçue n°15 : Dupliquer du contenu interne est pénalisant

Pas de duplicate content ! Tout contenu doit être unique. Sauf dans certains cas comme les fiches articles sur des sites Ecommerce, dans ce cas la balise canonical doit être utilisée.

Idée reçue n°16 : Il n’est pas nécessaire d’utiliser les balises canoniques

Si vous avez des pages quasi identiques, ce qui est souvent le cas des sites e-commerce avec leurs fiches produits, utiliser les balises canoniques vous permet de multiplier le même contenu sur plusieurs url différentes pouvant toutes être classées dans le moteur de recherche.

Idée reçue n°17 : Optimiser mon site pour les smartphones est secondaire

L’indexation first-mobile : les robots de Google évaluent la pertinence d’une page en crawlant en priorité sa version mobile plutôt que sa version bureau. 

Idée reçue n°18 : Ce n’est pas la peine de mettre à jour le contenu obsolète 

Non seulement cela vaut la peine pour que l’utilisateur bénéficie d’informations à jour, car  il risque fort de ne plus revenir dans le cas contraire, mais le fait même de rafraîchir votre contenu devrait augmenter votre visibilité auprès des moteurs de recherches. Profitez-en pour optimiser ce qui peut l’être. De plus un contenu obsolète fera inévitablement augmenter le taux de rebond de votre site E-commerce.

Idée reçue n°19 : Il ne faut surtout pas supprimer de contenu

Oui et non. Si votre contenu est obsolète ou problématique, cela peut-être la seule solution. Mais faites-le correctement en renvoyant une réponse http 404, 410 ou 411 en en-tête du contenu concerné. La suppression peut prendre du temps. De plus, ne supprimez pas un contenu ayant une valeur SEO ( ayant de bons liens, recevant du trafic) mais désindexez cette page et faites une redirection 301 sur une page équivalente.

Idée reçue n°20 : Je peux désindexer n’importe quel contenu sans conséquence

Non. Si le contenu répond à une requête des internautes, qu’il a du sens pour votre activité et/ou qu’il a une valeur SEO, sa désindexation sera pénalisante sur votre référencement naturel.  

Idée reçue n°21 : Il ne faut surtout pas désindexer de contenu

Ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit ! La désindexation de certains contenus obsolètes ou de contenus dupliqués par exemple est au contraire recommandé.

Idée reçue n°22 : le nombre de clics dans les pages de résultat a un impact sur le classement d’un site

Non ! Le comportement d’un utilisateur dans la SERP n’a pas d’incidence sur le ranking d’un site web. Le taux de clics ou encore les allers-retours entre SERP et pages web proposées (pogosticking) servent de KPI à Google pour mesurer la qualité de ses algorithmes. 

Idée reçue n°23 : mon maillage interne doit contenir des liens en no-follow

L’utilisation de lien nofollow ne permet pas le passage du « jus de référencement » d’une page à l’autre, vous n’en faites juste rien ! L’utilisation du nofollow en maillage interne est inutile. Mais… (il y a un « mais »).

Idée reçue n°24 : Mes liens externes doivent être en nofollow

Même topo que pour le maillage interne : aucune utilité à faire des liens externes en nofollow. Cela n’améliore pas la transmission du « jus » et donc pas votre SEO. Mais… (il y a un « mais »).

Idée reçue n°25 : L’agrément Google va booster mon SEO !

Gardez en tête que Google n’a de partenariat avec personne en SEO. Les seuls accords concernent le SEA.

Idée reçue n°26 : Le taux de rebond a une incidence sur le SEO

Google n’utilise pas le taux de rebond pour déterminer le ranking d’un site web car ce n’est pas un indice de qualité du contenu. En effet, le taux de rebond peut être fort, au contraire, car l’internaute trouve tout de suite sa réponse et s’en va ! Ce n’est pas du tout vrai en SEA ou le taux de rebond influe négativement sur les CPC et le Quality Score.

Idée reçue n°27 : Avec les nouveaux algorithmes, les règles de SEO changent sans arrêt 

Oui, il y a de nouveaux algorithmes qui demandent de repenser certains points comme l’indexation first-mobile. Oui, de nouvelles techniques permettent de rendre les sites plus « propres » ( les balises « canonical », « hreflang » etc.). Cependant, les fondamentaux du SEO restent globalement les mêmes.  

Idée reçue n°28 : Il n’existe pas de moteurs de recherche alternatifs à Google

Google représente 95 % du trafic internet en France. Il est donc logique (et primordial) d’optimiser son site web en fonction des exigences de ce moteur de recherche. Pour autant il en existe d’autres comme Qwant ou Ecosia qui proposent des modes de fonctionnement plus vertueux (données non collectées, actions écologiques etc.). Cependant les résultats de ces moteurs de recherche alternatifs sont parcellaires.

Idée reçue n°29 : Il n’est pas nécessaire d’adapter son SEO aux recherches vocales car elles sont marginales

Faux ! Déjà près de 50% des internautes  utilisent la recherche vocale pour acheter des produits. Vous auriez tort de vous priver de ce trafic. Il est donc fortement recommandé d’adapter votre référencement naturel aux recherches vocales ( commandes passées via un assistant vocal comme Siri ou Google Home). 

Idée reçue n°30 : Le SEO c’est un truc d’expert

Oui, mais…. En apprenant les fondamentaux, en faisant des tests sur vos sites web via l’application de ces méthodes, chacun est en capacité d’optimiser correctement son site. En revanche, cela demande beaucoup de temps et d’importantes ressources qualifiées, lorsque de véritables enjeux économiques sont concernés.

Auteure : Aurore

Source : ici, , et encore ici et , merci à elles 😉

CatégorieAvis Clients

ECOMMERCE : Pourquoi les avis clients sur Trustpilot doivent-ils être mis à jour ?

Vous êtes des dizaines de milliers à recevoir ces dernières semaines des mails de la part de Trustpilot vous invitant à « mettre à jour » vos avis clients déposés sur la plateforme éponyme :

La raison de cette mise à jour est très simple. Elle fait suite à la condamnation par le Tribunal de Commerce de Paris de la société Trustpilot pour des manquements avérés et condamnés par les magistrats.

Trustpilot ne respectait pas l’article D111-17 du code de la consommation comme cela est précisé dans les extraits du jugement à l’encontre de Trustpilot.

L’entreprise Danoise, qui ne dispose pas de filiale Française, avait été pourtant mise en demeure à plusieurs reprises par des sites Ecommerce et par des dirigeants Français sans que Trustpilot ne daigne répondre favorablement aux demandes de mise en conformité.

Trustpilot n’a jamais indemnisé les entreprises victimes de ses agissements déloyaux.

Il aura fallut attendre un jugement du Tribunal de Commerce de Paris pour que Trustpilot prenne au sérieux les réglementations des pays où la société opère.

En outre, Trustpilot avait été également condamné à verser des dommages et intérêts aux plaignants.

Cependant, Trustpilot n’a jamais indemnisé les entreprises victimes de ses agissements déloyaux.

Cela fait partie d’une nouvelle procédure auprès du Tribunal de Commerce.

MAJ du 18/06/2021 : Trustpilot aurait versé les sommes auxquelles l’entreprise Danoise avait été condamnée au Tribunal de Commerce de Paris.

 

 

 

 

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