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Comment les ransomwares peuvent-ils anéantir votre business ?

Les attaques de ransomwares sont devenues une menace majeure pour les entreprises. Selon le rapport de Sophos, éditeur de solutions de cybersécurité, 74% des entreprises interrogées déclarent avoir été touchées.

Il existe actuellement près de 70 groupes de ransomwares actifs. Grâce à cela, les cybercriminels s’infiltrent dans les systèmes, dérobent ou scriptent les données, avant de demander une rançon parfois vertigineuse aux organismes pour les récupérer.

Toutes les entreprises sont exposées, de la TPE aux grands groupes, ces pirates informatiques n’ont aucun scrupule.  Quelles sont les conséquences d’une attaque de ransomware?

1- Quelle est la définition d’un ransomware ?

Le nombre de victimes d’attaques par ransomware a augmenté de 128,17 %  d’après une étude Ransomlooker. Mais qu’est-ce qu’un ransomware ?

Qu’est-ce qu’un ransomware?

Un ransomware est un type de logiciel malveillant conçu pour dérober ou crypter des fichiers de données, voire verrouiller un système. Le malware les rend inutilisables ou inaccessibles à l’entreprise. Ensuite, le pirate informatique exige une rançon en échange de la clé de décryptage ou de la restauration de l’accès aux données.

Une attaque par ransomware se fait en plusieurs étapes :

  1. Infection des systèmes d’information par différents moyens ;
  2. Vol, verrouillage et/ou chiffrement des données : le logiciel chiffre ou verrouille les fichiers importants sur l’ordinateur ou le réseau de l’entreprise (base de données, applications, etc) ;
  3. Demande de rançon : le cybercriminel exige de l’entreprise qu’elle paie une forte somme, souvent via cryptomonnaie pour une transaction anonyme, en échange de la clé de décryptage ou de la restauration des données.

Quels sont les principaux logiciels de ransomware ?

Il existe différents types de ransomwares aux conséquences différentes mais toujours très lourdes pour l’entreprise piratée :

  • Les crypto-ransomwares : ces malwares chiffrent les fichiers de données d’un système pour rendre le contenu inaccessible. La clé de chiffrement est transmise en échange d’une rançon.

  • Les lockers :  le ransomware interdit l’accès à votre ordinateur en le verrouillant. Un écran de verrouillage affiche la demande de rançon.

  • Les scarewares : ce faux logiciel indique à l’utilisateur que son ordinateur a été infecté par un virus, ce qui est faux. Les pirates exigent alors de l’entreprise un paiement pour résoudre le problème. Certains scarewares verrouillent l’ordinateur, parfois de nombreuses fenêtres pop-up envahissent l’écran mais sans endommager les fichiers.

  • Les doxwares : ce logiciel permet de faire chanter les victimes en les menaçant de divulguer des données sensibles, personnelles ou professionnelles.

3 exemples de ransomwares

Il existe de nombreux rançongiciels. Prenons quelques exemples de ransomwares : 

Lockbit ransomware

Lockbit ransomware est dominant puisque 39 % des attaques ont perpétrées avec ce logiciel.

Comment fonctionne-il ?

Il s’agit d’un crypto-ransomware puisqu’il exige une rançon en échange d’un déchiffrement. Lockbit se démarque toutefois des autres attaques par ransomware reposant sur une intrusion manuelle dans le réseau. En effet, ses attaques se propagent automatiquement.

Akira ransomware

Le ransomware Akira est particulièrement actif depuis décembre 2023.

Comment fonctionne-il ?

Ce logiciel malveillant chiffre les données des serveurs et efface les données du NAS. C’est-à-dire que non seulement les cybercriminels cryptent les fichiers, mais qu’ils suppriment aussi les sauvegardes, de façon à acculer les victimes à payer les rançons. Pour y échapper il est nécessaire d’avoir des sauvegardes hors ligne protégées contre les accès physiques non autorisés.

Wannacry ransomware

Wannacry ransomware est un autre exemple de crypto-ransomware.

Comment fonctionne-il ?

Ce ransomware cible les ordinateurs utilisant le système d’exploitation Microsoft Windows. Classiquement, les données sont chiffrées et le paiement d’une rançon en bitcoin est exigée. En 2017 une attaque mondiale a entraîné une véritable épidémie. L’utilisation de systèmes informatiques obsolètes et le manque de mises à jour des logiciels ont entraîné de gros dégâts chez nombre d’entreprises.

2- Comment arrive un ransomware ?

Comment les criminels parviennent à infecter les réseaux informatiques ? Quelles sont leurs méthodes ? 

Voici les principales méthodes utilisées par les cybercriminels pour faire pénétrer ces malwares dans les systèmes :

Le phishing ou hameçonnage

👉 Selon le rapport Verizon, le hameçonnage représente près de 36 % de toutes les violations de données.

Or, le phishing est l’une des méthodes les plus fréquemment utilisées pour propager des ransomwares. Il s’agit de messages frauduleux envoyés par e-mail, par SMS ou sur les réseaux sociaux. Les messages adoptent tous les codes pour sembler provenir d’une source légitime comme une banque, les impôts, l’urssaf, etc. 

Ces messages contiennent le plus souvent :

  • Des liens malveillants : lorsque l’on clique dessus, le téléchargement du ransomware se déclenche.
  • Des pièces jointes infectées : les fichiers en PDF, Word ou Excel téléchargent le logiciel malveillants dès qu’elles sont ouvertes par l’utilisateur.

L’exploitation des failles logicielles par les ransomware

Les ransomwares peuvent exploiter des failles de sécurité dans des logiciels non mis à jour ou des systèmes d’exploitation vulnérables.

Ils exploitent notamment les vulnérabilités dans les systèmes d’exploitation (comme Windows, macOS ou Linux) ou dans des logiciels comme des navigateurs, des plugins, des applications, etc. Les pirates informatiques exploitent les failles pour propager l’infection.

📝 Par exemple : un ransomware s’est infiltré dans des milliers de systèmes via le logiciel VMware ESXi. Une faille de sécurité a été exploitée. Celle-ci était connue mais les mises à jour n’avaient pas été faites.

Les ransomwares peuvent également infecter un ordinateur car un salarié a téléchargé un logiciel piraté ou a surfé un site web compromis. Attention également aux clés usb ou aux disques durs externes contaminés. Le travail à distance a également favorisé la propagation de ransomwares via des connexions non sécurisées.

Quels sont les impacts d’une attaque de type ranwomware ?

 La France est au 5ème rang mondial des attaques par ransomware. Or, nous l’avons vu, l’objectif des pirates informatiques qui lancent une attaque de ransomware est d’obtenir une rançon. Ces piratages peuvent avoir des effets catastrophiques sur un organisme en termes financiers, organisationnels et d’image sur le marché.

Les pertes financières consécutives au ransomware

Si l’entreprise décide de payer la rançon demandée pour récupérer ses accès, la conséquence financière peut être retentissante.

Au niveau monde, 56% des entreprises victimes de cyberattaque ont payé la rançon pour récupérer des données chiffrées. Ce chiffre passe à 71% lorsque le malware a exploité des vulnérabilités du système. Les chiffres concernant le montant de la rançon exigée varient selon les études, l’étude Sophos l’évalue à une moyenne de … 4 millions de dollars.

Il semblerait qu’il faille relativiser ce montant faramineux. En France, dans 64 % des cas, la demande de rançon ne dépasse pas les 10 000 € et 6 % d’entre elles seulement dépasseraient 100 000€.

Cependant les pertes financières ne se limitent pas au paiement de la rançon puisqu’il faut compter :

  • la perte engendrée par l’impossibilité d’accéder aux fichiers, ce qui peut complètement paralyser une entreprise ou à minima ralentir son activité ;

  • les coût de recouvrement suite à une attaque: coût de l’intervention d’experts, coût des outils pour restaurer correctement le système, ainsi que la réparation des éventuels dégâts causés sur le système d’information et les équipements ;

  • les coûts indirects liés à des actions en justice ou des amendes des autorités de contrôle en cas de non-conformité : c’est le cas quand il y a vol ou perte des données en violation du RGPD.

🛑 Une analyse de Bessé et G.P. Goldstein montre que le risque de défaillance de l’entreprise augmente d’environ 50% dans les 6 mois qui suivent l’annonce de l’incident. Si l’entreprise est déjà en difficulté, un tel évènement peut la conduire à mettre la clé sous la porte.

La dégradation de l’image de l’entreprise à cause d’un ransomware

Une attaque, notamment si elle a utilisé des failles de sécurité et que des vols de données sont à déplorer, a des répercussions négatives sur la réputation de l’entreprise ou de l’organisme (collectivité locale, service public, ONG, etc).

En effet, si une entreprise subit une attaque de ransomware, cela peut être interprété comme un signe d’insuffisance des mesures de cybersécurité. Un défaut de confiance de la part des clients ou des partenaires peut survenir suite à une telle attaque.

Lorsque l’attaque est médiatisée, l’entreprise peut être perçue comme vulnérable, voire irresponsable. Tout dépend également de comment l’entreprise gère la situation de crise et quelle est sa communication sur le sujet. Sous-estimer la gravité de l’attaque, tenter de la masquer ou de minimiser l’incident aura tendance à créer un sentiment d’insécurité et pourrait nuire à sa crédibilité.

Conclusion ransomware

Une cyberattaque par ransomware constitue toujours un coût pour l’entreprise. Un coût financier mais aussi un coup pour la réputation de l’entreprise.

Ces attaques, proche du harcèlement, sont également susceptibles de générer un stress très important, notamment parmi les équipes des petites entreprises. La sensation de vulnérabilité peut s’avérer particulièrement difficile à accepter.

Il existe cependant des solutions pour limiter ces risques d’attaque : sensibiliser les salariés à la cybersécurité, effectuer les mises à jour logicielles régulières, réaliser des sauvegardes sur supports physiques, etc.

CatégorieE-commerceMarketing Web (SEA)Référencement (SEO)

Quel est le Top 5 des meilleurs outils d’analyse Web – alternatives à Google Analytics ?

Il existe de nombreux outils pour analyser le trafic des sites internet.

Le plus utilisé est toujours Google Analytics.

Cependant, cet outil du géant Américain est controversé car il ne respecte pas le RGPD. Des plaintes ont été déposées par l’association NOYB (« None Of Your Business ») pour violation de la législation sur les cookies.

En effet, par le biais de ces traceurs, des informations sont collectées et envoyées aux États-Unis.

En France, la CNIL a déclaré l’utilisation de Google Analytics non conforme au RGPD dans une décision du 10 février 2022. Il existe des alternatives RGPD-friendly vers lesquelles se tourner.

Voici notre top 5 des meilleurs outils d’analyse web :

1- Matomo : l’outil web analytics Français

Matomo

Matomo est ce que l’on peut appeler un « outil d’analyse traditionnel ». C’est-à-dire qu’il renseigne son utilisateur sur les données quantitatives sur le trafic du site web, comme le nombre de visiteurs uniques ou le taux de rebond.

L’utilisation de Matomo vise à récolter et analyser les données sur les visiteurs d’un site web ou une application afin d’évaluer leur parcours global et de mesurer l’audience du site.

Il s’agit d’une parfaite alternative à Google Analytics. Cette plateforme d’analyse web est en « open source », c’est-à-dire que son code source est librement accessible.

Les principales fonctionnalités de Matomo sont les suivantes :

Analyse du parcours utilisateur : évaluation du parcours utilisateur sur le site web et production de rapports sous forme de tableaux de bord ;

Analyse des conversions : analyse du parcours utilisateur pour identifier les points d’achoppement et améliorer le tunnel de vente. Matomo comprend des fonctionnalités d’aide à la conversion comme des heatmaps.

Analyse des profils : Matomo permet de conserver un historique complet pour chaque visiteur afin de connaître son parcours d’achat dans la durée.

Amélioration du SEO : cet outil d’analyse web comprend un volet référencement naturel afin d’optimiser le SEO.

Matomo peut être hébergé, au choix :

Sur les serveurs d’hébergement en cloud de Matomo: les données sont stockées en Europe par une entreprise européenne et ne font l’objet d’aucun transfert hors de L’union Européenne. Matomo n’utilise pas les données pour son propre compte et ne les partage pas avec des tiers.

Sur vos propres serveurs (On-premise) : les données sont stockées sur les serveurs de l’entreprise. Personne d’autre n’y a accès, pas même l’équipe de Matomo.

Il faut savoir que la solution Matomo Analytics est approuvée par la CNIL comme outil de mesure d’audience conforme au RGPD.

Matomo offre des services équivalents à Google Analytics tout en protégeant les données des personnes concernées.

S’il est correctement configuré, Matomo autorise même les responsables de traitement à collecter des données sans avoir à recueillir le consentement des visiteurs (mode exempté de consentement).

Tarifs de Matomo :

En auto-hébergement la solution est gratuite.

En Cloud, les tarifs démarrent à 19€/mois et varient selon le trafic mensuel.

2- Open web analytics : gratuit et open source

Open web analytics

Open Web Analytics est un outil d’analyse web gratuit et open source.

Les principales fonctionnalités d’Open Web Analytics sont les suivantes :

Une heatmap : il s’agit d‘une carte thermique utilisée pour repérer les zones des pages web sur lesquels les internautes cliquent le plus ;

Des pages d’analyse : enregistrent les différentes actions réalisées par chaque internaute sur les différentes pages du site, les fréquences de visite, le suivi des clics sur les liens des pages, etc. ;

L’analyse des données liées au SEO : référencement optimisé selon les recherches des visiteurs du site ;

Des tableaux de bord : l’outil permet de créer des tableaux de bord analytiques à partir des données récoltées.

L’outil est conforme au RGPD.

Tarifs d’Open Web Analytics :

Open Web Analytics est 100 % gratuit. Étant open-source, il peut être installé sans frais. Il n’existe pas de version payante.

3- Hotjar : Analyse de l’audience web et feedback utilisateurs

Hotjar

Hotjar est un outil d’analyse comportemental, c’est-à-dire qu’il collecte des données qualitatives concernant le comportement des utilisateurs du site web.

Il s’agit de la seule plateforme d’analyse web délivrant des informations visuelles sur le comportement des utilisateurs ainsi qu’un feedback instantané.

Les principales fonctionnalités d’Hotjar sont les suivantes :

Analyse du comportement des utilisateurs : collecte d’informations globales via des heatmapsou les enregistrements de session ;

Obtention de feedback utilisateur : les widgets de feedback permettent de recueillir le feedback de l’utilisateur après réalisation d’une action spécifique. Cette fonctionnalité permet notamment de repérer les pages et boutons sous-performants.

Organisation d’entretiens avec les utilisateurs : la fonctionnalité « Engage » permet de mettre en contact les entreprises avec un groupe diversifié de plus de 200 000 participants répartis dans plus de 130 pays. Des entretiens utilisateurs sont organisés. L’idée est de choisir les participants qui correspondent à l’audience cible pour mieux comprendre les internautes et attirer du trafic qualifié.

Hotjar est conçu selon le principe de privacy by design, c’est-à-dire dans le respect de la vie privée afin de se conformer aux législations sur les données personnelles (RGPD, CCPA, LGPD, etc.).

Tarifs Hotjar :

Hotjar propose un plan « gratuit à vie » ainsi que différentes formules « Plus », « Business » et « Scale », selon les besoins de l’entreprise.

4- Similarweb : connaître le trafic de ses concurrents

Similarweb

Similarweb est un outil de mesure audience permettant de connaître les statistiques de trafic de n’importe quel site web.

Il est très utile pour obtenir des informations sur les sites concurrents : sources de trafic, positionnement sur différents mots-clés, etc.

Vous pouvez ainsi facilement analyser la stratégie gagnante des sites web concurrents et comprendre pourquoi ceux-ci attirent du trafic.

Les principales fonctionnalités de Similarweb sont les suivantes :

Analyse d’audience : classiquement l’outil collecte des données sur le trafic des sites web, à savoir le nombre de visites, de visiteurs uniques, la durée moyenne de visite, le nombre de pages vues, les pages vues, le taux de rebond, etc. Il fournit également des informations démographiques essentielles pour segmenter et orienter les stratégies marketing.

Comparaison de site web : Similarweb se démarque d’autres outils en permettant à l’utilisateur de comparer les audiences de différents sites web. Ces fonctionnalités comparent la performance de son propre site à celle des concurrents : trafic total, sources de trafic, mot-clés générant du trafic etc.

Suivi des tendances du marché : l’outil offre une vue sur les tendances globales du marché, le suivi des évolutions comportementales des internautes, etc.

Similarweb est utile pour surveiller le trafic des concurrents et en tirer de nouvelles opportunités d’audience pour son propre site web.

Côté respect de la vie privée des utilisateurs, Similarweb investit de manière à se placer en conformité avec la réglementation (RGPD, CCPA). L’outil est conçu selon le principe de privacy by design.

Tarifs de Similarweb :

L’offre démarre à 125 dollars par mois (formule starter). Pour les formules Entreprise et Equipe, il faut demander un devis personnalisé.

5- Adobe Analytics : l’outil d’aide à la décision

Adobe Analytics

Adobe Analytics est une solution cloud. Cet outil permet de collecter, mesurer et analyser des données marketing à chaque étape du parcours client.

La collecte des données est effectuée à partir de différentes sources : les sites Web, les applications mobiles, ou encore les réseaux sociaux .

Le principal avantage de Adobe Analytics vis-à-vis de Google Analytics est le niveau de détails des rapports fournis.

Les principales fonctionnalités d’Adobe Analytics sont les suivantes :

L’analytics web : cette fonctionnalité permet de suivre et d’analyser le trafic sur les sites Web à partir de nombreux indicateurs : le nombre de visiteurs, les pages vues, la durée moyenne de la session, les taux de rebond, etc.

Des tableaux de bord interactifs facilitent la visualisation des données collectées.

L’analytics marketing : segmentation avancée de l’audience en fonction de critères spécifiques pour une analyse plus approfondie des différentes catégories d’utilisateurs et analyse des entonnoirs de conversion ;

L’analytics prédictif : ces fonctionnalités de prévision et de modélisation s’appuient sur le machine learning et l’intelligence artificielle ;

La détection des anomalies : un module de détection des anomalies permet de repérer les problèmes et de notifier l’utilisateur en temps réel : bug, erreur de balisage, espionnage industriel.

Adobe Analytics est une solution avancée. Elle s’adresse aux grandes entreprises dont les besoins en termes d’analyse de données sont particulièrement complexes.

Côté RGPD, il est possible de configurer cet outil de manière à ce que l’exemption de consentement s’applique.

Tarifs Adobe Analytics :

Les tarifs ne sont pas publics, il est obligatoire de demander un devis pour obtenir une offre adaptée à vos besoins.

 

 

CatégorieMédiocrité & Contentieux

Akin Emre : provocation ou escroquerie ?

Il est toujours surprenant de constater des porteurs de projets confondre entrepreneuriat et liberté d’entreprendre, avec le pillage de la propriété intellectuelle d’autrui. Parce que c’est ce que semble faire en substance l’entreprise individuelle Akin Emre en créant un site internet de fausses fiches de paie à des fins d’escroquerie après avoir copié l’apparence d’un véritable logiciel de paie.

Cela ressemble clairement à du parasitisme. Revue de détail :

Akin-EMRE

1- Un pillage de la propriété intellectuelle

Plutôt que de faire preuve de créativité, l’entreprise EMRE a choisi de copier sciemment des éléments constituant l’identité d’un site internet.

Akin EMRE reprend par exemple tout ou partiellement des textes, des images, des dessins ou modèles, des maquettes, des créations, des mises en page, des concepts, soumis aux droits d’auteur ; ainsi que la présentation et l’architecture du site internet concerné et plus généralement les droits de propriété intellectuelle et industrielle liés qui sont la propriété exclusive de la Société exploitante.

⚠️ Ces infractions sont caractérisées et sanctionnées par les articles L335-1 à L335-9 du Code de la propriété intellectuelle de 3 ans de prison et de 300 000€ d’amende.

2- Akin EMRE : une activité délictuelle

En effet, cette société  reproduit les éléments constitutifs de la propriété intellectuelle de notre entreprise. En complément, Akin EMRE s’abstient également de proposer une activité légale.

La présence en ligne d’une copie de notre site internet à des fins d’escroquerie, porte un préjudice considérable à notre entreprise, à nos salariés, et à nos 139 000 clients professionnels.

Il n’a pas copié notre logiciel de paie mais uniquement sa présentation afin de tromper nos utilisateurs, les internautes, et s’accaparer frauduleusement une partie de nos revenus.
Avec cette confusion visuelle et idenditaire, nous devons inévitablement gérer le SAV pour des utilisateurs déçus de leur prestation qui auront été trompés en pensant utiliser notre service.

Concrètement, cette pâle copie d’Akin EMRE propose de fausses fiches de paie (en violation des articles 441-1 à 441-12 du code Pénal).
Ainsi, elle nuit considérablement à notre image d’éditeurs de logiciels BtoB et notamment s’agissant de notre logiciel de paie utilisé par plus de 139 000 professionnels en France et dans les Dom Tom.

Cela nous décrédibilise et détruit notre image de marque.

🛑 Nous sommes référencés auprès de la DGFIP et de l’ensemble des organismes sociaux : URSSAF, MSA, BTP, Net Entreprises…etc.

Or, la présence en ligne d’une copie de notre site internet à des fins d’escroquerie porte un préjudice considérable à notre entreprise, à nos salariés et à nos 139 000 clients professionnels.

3- Usurpation de la profession d’expert comptable

Le pire arrive…

akin Emre

La société Akin EMRE indique fièrement sur sa page d’accueil que chaque fiche de paie produite avec son site internet est « certifiée par un expert comptable ». C’est factuellement faux en plus d’être mal orthographié.

D’une part car les fiches de paie sont produites sans respecter ni la réglementation, ni les conventions collectives associées.

D’autre part, sans DSN, cela rend les fiches de paie totalement inutilisables, sauf à des fins malveillantes.

📝 Exemple : produire un dossier locatif dans l’objectif d’escroquer un bailleur, un propriétaire ou une agence immobilière ; en violation des articles 441-1 à 441-12 du code Pénal.

Le pire étant l’usurpation du titre d’expert comptable par Akin EMRE. Ces agissements sont sanctionnés d’un an de prison et de 15 000€ d’amende (article 433-17 du Code pénal).

⚠️ Pour ces faits, un signalement officiel a été réalisé auprès du Procureur de la République au titre de l’article 40. Un signalement complémentaire sera adressé d’ici la fin de la semaine au Conseil national de l’ordre des experts-comptables afin qu’ils puissent le cas échéant se porter partie civile contre l’entreprise EMRE.

4- Un échange intelligent… puis des provocations inacceptables

S’ensuit un premier courrier adressé en LRAR au siège de la société Akin EMRE où pour réponse, le dirigeant s’excuse et suspend son site.

Nous pensions naïvement l’affaire réglée et l’individu honnête, sans devoir assigner en justice cette entreprise malveillante et son gérant.

Seulement, un mois plus tard, nous recevons une série d’emails de la part d’Akin EMRE. Ils font état de propos menaçants à l’égard de notre entreprise, d’analyses aussi absurdes qu’inexactes, et de mensonges avérés.

L’EI Akin EMRE nous rétorque que nous le harcelons, alors même que nous ne faisons que répondre à ses propres emails.

Nous lui rappelons avec vigueur que cette activité ne peut pas perdurer. Akin EMRE et son dirigeant éponyme nous rétorquent que nous les harcelons, alors même que nous ne faisons que répondre à leurs propres emails et appels :

Contacts entrants d’Akin EMREContacts sortants en réponse
10/09/2024 Email09/09/2024 LRAR
10/09/2024 Email10/09/2024 Email
15/10/2024 Email15/10/2024 Email
15/10/2024 Email15/10/2024 Email
16/10/2024 Email16/10/2024 Email
16/10/2024 Téléphone—-
17/10/2024 Email—-
18/10/2024 Email menaces et intimidations—-

Le discours avec l’entreprise Akin EMRE étant impossible, nous décidons d’assigner l’entreprise de Monsieur EMRE.

De surcroît nous avions pu quantifier le manque à gagner sur la période. Par conséquent cette somme lui sera réclamée devant les instances judiciaires tout comme l’indemnisation corrélative.

À cela s’ajoute le préjudice subit notamment en matière d’image, de réputation et de propriété intellectuelle.

Cet article sera mis à jour au fur et à mesure des avancées de ce dossier, à la fois pénal et commercial. 

NB : C’est toujours FIDAL Avocats qui nous accompagne sur ces sujets 😉

5- Mise à jour du 18/10/2024

l’EI Akin EMRE ont mis à jour leur site internet frauduleux :

Ils ont retiré l’indication mensongère au sujet des fiches de paie certifiées par un expert comptable. Ce qui revient en substance à reconnaître les faits d’usurpation de titre puisqu’ils l’affichaient fièrement auparavant.

Dans leur présentation, ils indiquent à la fois ne pas proposer un logiciel de paie :

Et affirment pourtant que leurs résultats sont conformes (FAUX) et facilitent les démarches des employeurs (comment peuvent-ils faciliter la démarche des employeurs en produisant de fausses fiches de paie ?) :

Ils persistent et affirment en substance que leur site est bien destiné aux professionnels.
(Qui eux sont trompés car ils pensent avoir à faire à une solution réglementaire pour la paie de leurs salariés et les déclarations sociales de leur entreprise) :

Seulement, aucune de leur fiche de paie ne peut être conforme sans la gestion des spécificités sociales, fiscales et conventionnelles de chaque entreprise.

Enfin, ils encouragent ensuite la création de faux documents :

…et un peu de publicité mensongère pour saupoudrer davantage de malveillance :

On ne voit pas la possibilité de vivre une « véritable expérience de gestion comptable dans un cadre professionnel » sans mettre à disposition un véritable logiciel de paie conforme à la réglementation, ni même un export comptable pour intégrer les données de la paie dans la comptabilité de l’entreprise.

En outre, les déclarations sociales par DSN sont obligatoires depuis 2018 et pourtant inexistantes sur ce site frauduleux :

Pour résumer la situation, l’EI Akin EMRE propose clairement un outil destiné à la fraude sociale.

  1. Leur site apparement destiné aux professionnels n’est pas un logiciel de paie. Ainsi, aucune convention collective, ni prélèvement à la source, ni cotisation sociale n’est prise en compte pour établir une fiche de paie. Elle inévitablement fausse.
  2. Aucune DSN ne peut être effectuée en violation de la Loi. La DSN est obligatoire depuis 2018.
  3. Akin EMRE se rendent complices de travail dissimulé en mettant à disposition des employeurs ce site internet de fausses fiches de paie assurément non conforme au droit social.
  4. Ils mettent en danger les droits et les acquis sociaux des salariés dont les employeurs utilisent ce site, simplement car aucune fiche de paie n’est conforme et aucune déclaration sociale corrélative n’est effectuée.
  5. Ils encouragent la création de fausses fiches de paie en violation de la Loi.
  6. Les équipes d’Akin EMRE participent ainsi activement à la fraude sociale au préjudice des organismes sociaux.

Tout cela à des fins mercantiles… C’est lamentable et indigne d’un dirigeant d’entreprise.

Ces faits gravissimes font l’objet d’un nouveau signalement auprès du Procureur de la République afin de faire cesser ces agissements délictuels.

Les conséquences pénales, financières, sociales et prudhommales pour un employeur d’utiliser ce site sont dramatiques. Il faut d’urgence que la justice agisse et ferme ce site frauduleux.

⚠️ Nous recevons encore des emails de menaces et d’intimidations de la part de cette entreprise.
En 2024, ce sont ceux qui violent la Loi qui attaquent et menacent ceux qui la respectent.

👉 Nous ne céderons rien sur rien. Nous faisons confiance aux autorités pour faire cesser ces agissements dans leur entièreté.

Il est à noter que le dirigeant en charge de ces activités délictuelles est également responsable et mandataire social d’un centre de formation pour commerciaux.

La Délégation Générale à l’Emploi et la Formation Professionnelle (DGEFP) sera saisie et informée dès la semaine prochaine de la situation.

CatégorieE-commerce

Fermeture site e-commerce : combien ont fermé et pourquoi ?

L’e-commerce est devenu un secteur majeur avec 160 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2023.

Cependant, le marché de l’e-commerce est devenu plus sensible à la conjecture. Ainsi, on constate de plus en plus de fermetures de sites e-commerce.

Si la vente de services progresse, en 2023, la vente de produits a connu un recul de 1,8 % par rapport à 2022, après une baisse significative de – 7% l’année précédente.

De plus, si le marché du e-commerce profite à quelques gros acteurs, notamment des marketplaces, est-ce vraiment la panacée pour tous les e-marchants ? Pas tout à fait, les fermetures de sites e-commerce se sont multipliées.

90 % des sites e-commerces échouent dans les 4 premiers mois d’existence.

La création de sites continue d’augmenter, encore +10% en un an au 1er trimestre 2024. Il est en revanche difficile de trouver des informations concernant le nombre de fermetures de sites e-commerce.

Pourtant, selon une étude récente, 90 % des sites e-commerces échouent dans les 4 premiers mois d’existence. De plus, de nombreux sites e-commerce ferment chaque année.

1- Combien de sites e-commerce ont fermé ces dernières années ?

Quel est le nombre de fermetures de sites e-commerce en 2023 ?

Selon les statistiques du site Statista, entre 2006 et 2016, le nombre de sites e-commerce en France a été multiplié par presque 9. Leur nombre a ensuite fluctué entre 2017 et 2022, avec environ 200 000 sites e-commerce actifs.

55 0000 fermetures de sites e-commerce entre 2022 et 2023

En revanche c’est entre 2022 et 2023 que l’on voit ce chiffre baisser drastiquement puisque, le nombre de sites e-commerce actifs est passé de 207 000 en 2022 à 152 000 en 2023.

Autre donnée importante : selon les chiffres de la FEVAD, pas moins de 10 000 nouveaux sites marchands ont été créés sur la période.

D’après une enquête de la FEVAD sur le moral des commerçants Français en 2024, 76% des e-marchands s’attendent à une augmentation des fermetures de sites de e-commerce en 2024 (ils étaient 60% en 2023). 

3 exemples de sites e-commerce ayant fermé

Ces dernières années, des sites emblématiques du e-commerce ont fermé, pour des motifs souvent très différents. Voici 3 exemples de fermetures de sites e-commerce :

Le vide dressing : pionnier de la seconde main

Le site Videdressing, fondé en 2008, s’était illustré dans l’achat-vente d’articles de mode.

Racheté en 2018 par LeBonCoin, le site e-commerce a fermé en juillet 2023.

Avant l’arrivée de Vinted, Videdressing était la plateforme pionnière dans le marché de la seconde main (qui pèse environ 2 % des parts de marché de l’e-commerce désormais). Dans ce cas de figure, le site Videdressing a été absorbé par le géant de l’occasion en ligne LeBonCoin, perdant complètement son identité de marque à part entière.

Gearbest : le site e-commerce chinois

Autre cas de figure, le site Gearbest, l’un des plus gros sites e-commerce Chinois a disparu du jour au lendemain.

L’url du site n’a plus été accessible et aucun message n’a été adressé aux internautes pour les alerter en amont de cette fermeture de site e-commerce.

Dans ce cas précis, la société aurait fait faillite. Le PDG de GearBest  s’était adressé aux médias chinois pour informer que la société n’était plus en mesure de payer ses fournisseurs et de répondre aux commandes.

Shopify exchange marketplace : achat/vente de boutiques Shopify

Encore un autre exemple avec la fermeture de Shopify exchange marketplace. La marketplace créée en 2017 par Shopify permettait aux e-commerçants d’acheter et de vendre leurs boutiques en ligne Shopify. Les entrepreneurs pouvaient acheter des boutiques déjà matures avec du trafic ou prêtes à démarrer.

Cependant, le site e-commerce n’a pas fonctionné.

Des vidéos d’utilisateurs de la marketplace ont mis en évidence les failles du service, notamment des erreurs dans la valorisation des boutiques en ligne.

Par exemple, une entreprise qui rapportait seulement 81 dollars par mois de Chiffre d’Affaires avait été évaluée à 25 000 dollars sur la plateforme. De plus, le site posait des problèmes de confidentialité des données qui exposaient les boutiques au vol de leurs idées.

En résumé, le site e-commerce a fermé car ils n’avaient vraisemblablement pas les compétences pour faire de l’intermédiation professionnelle pour la vente de site. le site e-commerce a fermé le 1er Novembre 2022

On parle ici d’exemples de site matures qui ont fermé pour des raisons diverses. Cependant, de nombreuses boutiques en ligne ferment dans les mois suivant leur création.

2- Pourquoi les sites e-commerce ferment-ils?

Une étude menée conjointement par Forbes, Le Huffington Post et Marketing Signals  a montré que 90 % des sites de e-commerce échouent dans les 120 jours de leur lancement.

Certes, le marché de la vente en ligne a fortement progressé, avec un coup de fouet fulgurant lié à la période Covid et aux nouveaux usages des consommateurs à travers le monde. Commander ou réserver en ligne est devenu une habitude. Pour autant, de nombreux sites e-marchands ne survivent pas aux premiers mois. De plus, beaucoup de petites entreprises n’en vivent pas correctement, apportant tout au plus un complément de revenu à leurs fondateurs.

En effet, si n’importe qui peut en ouvrir une assez facilement grâce aux solutions e-commerce clés-en-main, faire perdurer une boutique en ligne est une autre paire de manche. La difficulté de gérer un business en ligne est largement sous-estimé. Il faut réussir à se démarquer dans un paysage parfois saturé et aux marges réduites. 

Selon cette étude, voici 9 motifs de fermeture de sites e-commerce :

1- Mauvaise stratégie de marketing digital

De nombreux e-marchands ne savent pas mettre en valeur leurs produits et leurs services en ligne, échouant à convertir les visiteurs en clients. Il s’agit de travailler les photos, le contenu afin qu’il soit clair et lisible ainsi que sur l’expérience utilisateur au global. 

2- Manque de visibilité en ligne

Le commerce en ligne est une jungle dans laquelle seuls les plus visibles tirent leur épingle du jeu. Cela demande notamment de muscler son SEO (référencement naturel) et les campagnes de SEA (référencement payant) afin de remonter dans la page de résultat.

3 – Tunnel de vente trop compliqué

«Keep it simple» ! Le tunnel de vente doit être le plus simple possible. Beaucoup de sites perdent des ventes à cause d’une navigation trop compliquée, qui perdent l’internaute en route. Trouver facilement les informations utiles, commander puis payer facilement avec plusieurs options de paiement, prendre connaissances des coûts inhérents à la livraison et autres en amont, voici quelques unes des attentes des consommateurs en ligne. Évitez également de trop nombreuses pop-up qui parasitent la navigation.

4- Pas ou peu de marché pour les produits ou services

Avant de se lancer, il est conseillé de réaliser une étude de marché. Sans cela, les entrepreneurs risquent de se retrouver soit sur un marché saturé, soit sur un marché pour lequel il n’y a pas de demande. A moins d’apporter un service disruptif ou un produit innovant et de savoir le vendre, vous courez le risque de ne pas rencontrer votre cible.

5- Mauvaise gestion de la trésorerie

La trésorerie est le nerf de la guerre dans le commerce. Il est indispensable de disposer d’assez de fonds de roulement pour payer ses fournisseurs en attendant le paiement  des clients. Il faut également veiller à ne pas faire de trop gros stocks que vous auriez du mal à écouler. Il est recommandé de tester une petite quantité de stock pour évaluer la demande du produit et d’ajuster ensuite.

6- Mauvais ajustement des prix par rapport aux coûts

Évitez les frais cachés ou les frais de port importants que le client découvre au dernier moment. Ces frais cachés sont responsables de nombreux abandons de panier. Mieux vaut en incorporer une partie dans le prix de vente.

7- Service client inefficace

Ce n’est pas parce que le client achète en ligne qu’il n’attend pas un service client efficace en cas de besoin. Un service client peu réactif ou peu soucieux de régler les problèmes entraîne une perte de fidélisation, une mauvaise réputation de l’entreprise voire des litiges judiciaires.

8- Manque de transparence dans la politique de retour

Plus encore que dans la vente physique, vous êtes susceptibles de faire face à des retours. C’est le cas dans l’industrie textile mais pas seulement. Vous devez avoir une politique très claire à ce sujet ainsi qu’un process bien rodé. Dans le cas contraire, vos clients peuvent concevoir un grief envers votre marque et ne jamais recommander sur le site, voire engager des poursuites. Cela peut paraître un détail mais comme pour la livraison ou les frais cachés, la politique de retour constitue un point très important du fonctionnement d’un e-business.

9- Un abandon trop rapide

Lorsque l’on ouvre un site e-commerce, il n’est pas garanti que le succès soit rapidement au rendez-vous, pour de nombreuses raisons. Vous devez vous faire connaître, travailler sur le SEO pour rendre le site visible, développer une stratégie de vente. Cela peut prendre du temps et certains entrepreneurs sont tentés d’abandonner sans avoir donné la chance à leur business. Se lancer dans le e-commerce n’est pas si facile que cela, c’est une activité qui demande des connaissances, du temps, des compétences, et aussi, d’accepter les échecs pour repartir avec de nouvelles stratégies !
Pour se former il faut s’informer sur le sujet comme avec le livre ecommerce bien utile pour les novices et pour ceux qui veulent développer leur business en ligne.

3- Est-ce que le e-commerce fonctionne encore ?

Bien évidemment ! Le marché du e-commerce est désormais plus mature et donc moins susceptible de connaître une croissance aussi forte que les dernières années, mais il continue de progresser.

Pour preuve les chiffres de la FEVAD pour le 1er trimestre 2024. Même les ventes de produits se redressent, progressant à nouveau de +1,1% en nombre de commandes.

Au 1er trimestre 2024, le e-commerce (produits et services confondus) a enregistré une croissance de 7,5% par rapport au 1er trimestre 2023 pour atteindre 42,2 milliards d’euros, soit 3 milliards de plus en un an. Le nombre de sites marchands actifs est en hausse de 10% sur le premier trimestre 2024/2023 contre 5% sur le premier trimestre 2023/2022.

Selon Marc Lolivier, directeur général de la FEVAD, la prochaine vague de e-commerce devrait concerner le b2b. Alors que le e-commerce b2c a connu un essor fulgurant, le potentiel du e-commerce b2b est encore largement inexploité. En effet, le b2b reste encore bien souvent le domaine des commerciaux. Voici donc une piste à exploiter pour lancer un site web en ligne : s’adresser aux professionnels.

Conclusion

Concrètement, le e-commerce n’est pas encore un marché saturé, il reste de nombreux territoires à explorer, d’idées de business à monter. Cependant, pour que cela fonctionne, il y a quelques bonnes pratiques à respecter et surtout … ne pas se décourager à la première difficulté !

CatégorieMédiocrité & Contentieux

Lootsum : le business illégal de Gagik Sarkisyan et Lavrenti Kasarian

Lavrenti Kasarian et Gagik Sarkisyan créent un business illégal

Au mois de Septembre, nous découvrons un site internet visiblement édité par Gagik Sarkisyan et Lavrenti Kasarian, deux associés au sein de l’entreprise Lootsum.

Le site internet en question reprend phonétiquement exactement le nom de notre site internet et différents éléments notamment visuels protégés par la propriété intellectuelle.

Leur démarche consiste à créer la confusion chez les utilisateurs pour s’accaparer une partie de nos revenus.

Pire, l’activité de leur site internet est totalement illégale contrairement au nôtre :

Les deux complices proposent l’obtention de fausses fiches de paie afin d’escroquer des bailleurs. Nous sommes éditeurs d’un logiciel de paie référencé auprès de l’ensemble des partenaires et organismes sociaux, mais aussi fiscaux.

Leur activité délictuelle nous cause un préjudice d’image considérable et une perte de CA évidente d’ores et déjà constatée et chiffrée.

Manquements réglementaires avérés et volontaires

En outre, le site internet édité par Lavrenti Kasarian et Gagik Sarkisyan ne dispose d’aucune mention légale pour justifier de leur immatriculation au registre du commerce et des sociétés. Cela en violation des articles L131-1 à L133-3 du code de la consommation.

Les responsables sont bien Gagik Sarkisyan et Lavrenti Kasarian

Pour identifier les responsables de ce site internet frauduleux nous n’avons pas eu à creuser bien longtemps. Chaque publicité doit permettre d’identifier l’annonceur qui se cache derrière, c’est le cas avec google et son centre de transparence publicitaire :

Dès lors, aucun doute possible, nous constatons qu’il s’agit bien d’un des associés de Lootsum qui est derrière cette annonce. Le business frauduleux semble bien édité par leur agence de développement :

En même temps, ils ne s’en cachent pas vraiment au regard de leurs profils linkedin :

Profil public Linkedin de Gagik Sarkisyan

 

Profil public Linkedin de Lavrenti Kasarian

Seulement tout a été fait pour que Messieurs Sarkisyan et Kasarian se soustraient à leurs responsabilités.

Lootsum : une entreprise fantôme inconnue à l’adresse indiquée

Au delà des mentions légales inexistantes sur leur site internet et de leurs méthodes déloyales à notre égard (réprimées par les articles L335-1 à L335-9 du Code de la propriété intellectuelle de 3 ans de prison et de 300 000€ d’amende) ; nous découvrons que Lootsum n’a même pas de siège social à l’adresse qu’il indique pourtant au registre du commerce et des sociétés de Lille :

En effet, nous avons adressé dès le début du mois de Septembre un courrier recommandé circonstancié. Il faisait état des violations caractérisées de nombreux articles de Loi par les deux complices Russes : Lavrenti Kasarian et Gagik Sarkisyan.

Seulement, le courrier nous est revenu au motif que la société Lootsum ne se trouve PAS à l’adresse indiquée par leur soins :

Nous souhaitions pourtant trouver une solution amiable avec ces deux dirigeants, mais sans pouvoir communiquer nos griefs cela est impossible.

Alors, nous avons tenté d’obtenir une adresse email de contact depuis le formulaire du chat en ligne proposé sur leur site illégal :

Nous n’avons jamais obtenu de réponse.

Un numéro de téléphone portable et une adresse email était disponible sur Google s’agissant de l’entreprise lootsum. Nous avons donc entrepris de les contacter directement :

Lavrenti Kasarian et Gagik Sarkisyan : deux dirigeants qui semblent irresponsables

Nous avons pu échanger de vive voix avec Gagik Sarkisyan qui s’est empressé de nier tout lien avec le site frauduleux dont il est question. Il rejette la responsabilité sur son associé Lavrenti Kasarian.

Nous avons pris en considération les observations de monsieur Sarkisyan et nous avons écrit à son associé à l’adresse communiquée.

Le courrier adressé en LRAR à Lavrenti Kasarian nous est également revenu sans pouvoir être distribué.

Lootsum se cache derrière ces sites frauduleux

En effet, nous avons fait constater par huissier que cette entreprise a réalisé un montage opaque dans le but de tromper les autorités.

Lavrenti Kasarian assume d’exercer une activité illégale de production de faux documents à l’instar des fiches de paie.

Ils ont même crée un site vantant les fausses fiches de paie qui renvoit ensuite vers leur site frauduleux :

https://fausse-fiche-de-paie.com/

Des méthodes déloyales et une assignation en cours

Nous observons là, des méthodes déloyales et malveillantes pour se soustraire aux responsabilités qui incombent à tout dirigeant d’entreprise.

Dans ces conditions, nous allons assigner la société Lootsum ainsi que les dirigeants : Gagik Sarkisyan et Lavrenti Kasarian. C’est notre cabinet d’Avocats habituel, FIDAL, qui est mandaté pour faire cesser ces agissements. 😁 Plus d’informations à suivre….

CatégorieNon classé

Comment réagir face au chantage commercial d’Anthony Neyer – ALTRANSMAVI ?

C’est un phénomène qui prolifère chez les personnes malhonnêtes : le chantage commercial.

Parfois c’est un chantage commercial aux avis clients. Comprenez « donnez-moi ce que je veux, ou je vous pourri votre réputation en ligne ».

Parfois c’est un chantage commercial au remboursement. Comprenez « rendez-moi mon oseille où je vous fais la misère ».

Dans le cas de monsieur Anthony NEYER, le dirigeant de la société ALTRANSMAVI, c’est sur ces deux leviers qu’il agit afin d’obtenir ce qu’il souhaite.

Détaillons précisément la situation :

ALTRANSMAVI, une entreprise de VTC située à Saint-Malo

Jusque là rien de bien particulier au sujet de cette société de transport de personnes.

Anthony NEYER est mandataire social de l’entreprise ALTRANSMAVI située en Ille-et-Vilaine (35). En tant que Président, monsieur NEYER est soumis à la réglementation qui impose la production d’une fiche de paie dès le 1er euro de rémunération.

C’est pour cette raison qu’il s’inscrit sur notre logiciel de paie en ligne en créant un compte dès le 16/12/2018 15:11.

Il procède à l’établissement de fiches de paie le concernant.

La production d’une fiche de paie impose la transmission obligatoire d’une DSN à Net-Entreprises. C’est la Loi.

Seulement, pour générer et transmettre une DSN conforme, encore faut-il respecter les procédures adéquates.

Anthony Neyer ne respecte aucune procédure

La première consiste à renseigner les éléments relatifs à son entreprise et aux salariés de celle-ci. Monsieur Neyer n’a tout simplement rien complété parmi les champs requis.

Si les données d’identification de son entreprise semblent conformes :

Les données indispensables pour générer les déclarations sociales n’ont simplement pas été complétées par Anthony Neyer :

Il ne faut pas s’étonner ensuite que les DSN de l’entreprise ALTRANSMAVI  soient rejetées par l’URSSAF.

Bien entendu, Anthony Neyer rejette sa propre faute sur les autres, en opposition totale avec les responsabilités qu’impliquent pourtant le mandat de dirigeant d’entreprise.

Il paraît peu probable de passer à côté de l’information avec plus de 360 pages d’aide en ligne gratuites, dont certaines spécifiquement pour paramétrer et générer une DSN conforme.

Cela d’autant plus que nous mettons à disposition un Chat en ligne gratuit avec 3 salariés pour répondre aux demandes des utilisateurs. Ajoutons, que le responsable commercial rappelle gratuitement les clients qui le sollicitent.

Les accusations fallacieuses et mensongères

C’est le pire qui puisse arriver à tout individu ou organisation honnête : subir des accusations calomnieuses en violation de l’article 226-10 du Code pénal et sanctionnées de cinq ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende.

Pourtant, Anthony Neyer ne s’encombre pas avec la Loi et la piétine allègrement en nous accusant de tous les maux, enfin surtout de ces propres manquements.

Revue de détail :

Monsieur Neyer affirme :

« Vous n’échapperez pas à la tromperie que vous organisez sciemment (aucune information et explication du service que vous apportez, impossibilité de contacter verbalement un conseiller, aucune vérification pour notamment établir une fiche de paie en quelques clics »

Tout cela est faux.

360 pages d’aide en ligne sont disponibles gratuitement.

3 personnes sont disponibles par email, téléphone et tchat en ligne.

Anthony Neyer ajoute :

« vous savez que vos fiches de paie sont utilisées par certain commanditaire, par des organisations de malfaiteur, favorisant les arnaques et actions illégales (pour monter de faux dossiers de prêt de locations etc…) vous êtes complice de cela« 

Tout cela est faux.

Fiche-Paie.net est le seul logiciel de paie du marché disposant d’une cellule « Fraude » qui agrège et regroupe les informations des personnes malveillantes qui usurpent l’identité d’entreprise, de dirigeants ou de décideurs.

Des dizaines de comptes sont suspendus chaque jour par nos algorithmes et nos agents. Dès que nous avons un doute, le compte est suspendu.

En outre, des justificatifs sont obligatoirement demandés pour toute création de compte abonné, ce qui n’était pas le cas pour l’entreprise ALTRANSMAVI.

Nous travaillons TRÈS régulièrement avec les autorités métropolitaines et d’Outre-mer sur des dossiers de fraude sociale et de travail dissimulé.

L’affirmation de monsieur Neyer est par conséquent calomnieuse.

En outre, un éditeur de logiciel n’est aucunement responsable de l’usage malveillant qui peut être effectué de celui-ci.

Microsoft est-il responsable des lettres anonymes, de menaces et autres horreurs rédigées sur son logiciel Word ? Non.

Poursuivons…

Le chantage aux avis clients de Mr Neyer

« Les avis sont déjà très mauvais pour la grande majorité, je ne suis pas étonné. Je remarque aussi que seul votre site officiel met en avant un taux de satisfaction qui est mensonger, je ne suis pas surpris. »

Tout cela est faux.

Le logiciel est noté 4,8/5 par ses utilisateurs, cela est vérifiable aisément sur Google :

S’agissant de Trustpilot, il ajoute :

« Je vais donner mon avis sur trustpilot et google , surveillez bien . Les avis sont déjà très mauvais pour la grande majorité. »

Tout cela est faux.

La page évoquée sur Trustpilot concerne le site fichedepaie.net et non fiche-paie.net

Monsieur Neyer prend ses certitudes pour une réalité qui n’existe pas.

Il exige le remboursement des sommes versées par son entreprise ALTRANSMAVI.

Seulement le droit de rétractation n’est pas applicable aux professionnels (sauf dans des cas précis) et le service étant 100% personnalisé avec les données du dirigeant, de son entreprise et de ses salariés, il n’est de toute façon pas possible d’y donner droit.

De surcroît, si Anthony Neyer avait correctement renseigné les éléments de son entreprises nécessaires à la génération d’une DSN conforme… elle aurait été conforme et acceptée par l’URSSAF.

Au delà de lire les pages d’aides, les agents du service clients sont également à l’écoute des utilisateurs. Par conséquent il s’agit de malhonnêteté et de mauvaise foi.

Pour conclure, ce chantage commercial est tout à fait inacceptable et contraire à la probité attendue d’un dirigeant d’entreprise.

CatégorieE-commerceWizishop

Solution E-commerce : Wizishop un support utilisateur PREMIUM

Support_utilisateursIntroduction

WiziShop est une solution logicielle e-commerce. Elle permet de créer et d’administrer une boutique en ligne simplement et facilement.

Nous avons testé la solution WiziShop au travers de la création d’un site e-commerce consacré à la vente de tableaux.

Contexte d’utilisation de Wizishop

A mesure que nous avions besoin d’accompagnement pour finaliser la création du site e-commerce, nous avons naturellement sollicité les services de WiziShop.

Nous n’avons pas trouvé de numéro de téléphone pour joindre le support utilisateurs de la solution Wizishop. Cependant, le contact est simple et rapide depuis leur interface :

Contact Wizishop

Comment contacter le support Wizishop ?

C’est très simple depuis votre compte utilisateur. Vous cliquez sur le bouton en bas à droite de votre écran et la fenêtre de contact s’ouvre (vue ci-dessus).

Vous pouvez obtenir facilement une aide immédiate pour trouver la page d’aide en ligne qui vous permettra de résoudre votre problématique.

Si la réponse apportée n’est pas satisfaisante, alors un agent va prendre le relai et répondre précisément à la demande.

L’assistance utilisateurs Wizishop est-elle satisfaisante ?

L’assistance de WiziShop est extrêmement réactive. Nous l’avons constaté à plusieurs reprises, non seulement les délais de réponse sont réduits, mais en plus les réponses apportées sont complètement en phase avec les attentes de l’utilisateur.

WiziShop utilise la technologie d’Intercom pour gérer sa relation client. Vous posez votre question dans le chat et vous obtenez une première réponse si une aide en ligne est disponible sur le sujet concerné.

Le cas échéant, c’est un agent qui vous répondra en différé quelques instants, minutes ou heures plus tard.

Afin d’accompagner au plus près leurs utilisateurs, WiziShop utilise la technologie Loom afin d’illustrer les propos par une vidéo :

Réponse Wizishop

Ainsi, l’utilisateur qui a sollicité l’aide de WiziShop pour réaliser une opération particulière peut visualiser pas à pas les différentes étapes et écouter les instructions pour résoudre le problème rencontré.

WiziShop a mis la satisfaction client au cœur de son business model

Preuve en est : Récemment, certains soucis d’hébergement liés à l’hébergeur OVH ont mis à mal les infrastructures de WiziShop.

Cela a provoqué de nombreux incidents sur les sites e-commerce propulsés par WiziShop.

L’entreprise a alors réalisé une communication très complète par son PDG René Cotton s’agissant des incidents rencontrés :

Email de wizishop suite aux incidents

C’est bien cette transparence de communication qui a manqué à OVH en 2021 lors de l’incendie du datacentre de Strasbourg.

Wizishop en chiffres

Date de création de la société : 2008

Nombre de clients : 350 000

CA : 1,2 Million d’euros (2018)

Levée de fonds : Oui en 2013 auprès de Xavier Niel (Free), Marc Simoncini (Angell) et Jacques-Antoine Granjon (Veepee).

Article connexe : Comment créer un site E-commerce avec Wizishop ?

CatégorieE-commerce

Tableau-deco.eu : avis client et analyse du site marchand

Un site e-commerce simple et pratique

En e-commerce tout se vend :

vente en ligne de produits originaux

Aujourd’hui, je vous propose de découvrir un site e-commerce de vente de tableaux où le plaisir est d’abord visuel :

Tableau-Deco.eu

Le site est simple et pratique pour rechercher un tableau à l’aide du menu dans le header.

Un tableau décoratif parmi 1500 modèles

Pour décorer sa maison ou son appartement, chacun peut accrocher n’importe quoi aux murs de son logement. Seulement, disposer d’une déco moderne et chic est plus complexe.

Autrefois, les logements étaient décorés de tableaux fixés aux murs. Souvent, il s’agissait de peintures dont les artistes étaient méconnus.

Aujourd’hui, trouver le tableau deco afin d’égayer son intérieur est simple avec ce type de site internet.

Quel tableau deco choisir ?

Le street art est tendance mais comment trouver un tableau street art sans passer par une galerie d’artistes ?

De la même façon, les goûts décoratifs diffèrent d’un individu à un autre. Je cherchais un site e-commerce qui propose à la fois du tableau deco, classique sans fioritures ; mais aussi un tableau de personnage célèbre.

Ce n’est qu’un exemple, mais lorsqu’on ne possède pas l’image que l’on aime, ni les compétences pour produire soit-même le tableau pour sa déco, alors ce type de site est tout simplement génial :

Tableau deco Amy Winehouse

Commande d’un tableau

J’ai donc passé commande de ce tableau animaux car j’adore la faune de notre planète :

Tableau deco éléphant

L’un des avantages de ce site internet c’est l’exhaustivité de son offre. En effet, la boutique en ligne de tableaux propose 1500 pièces la plupart du temps exclusives.

Livraison gratuite des tableaux

L’autre avantage et pas des moindres, c’est la livraison gratuite proposée pour la france métropolitaine. Et ÇA c’est fort !

Livraison gratuite tableau deco

Car en E-commerce, la logistique coûte très cher. Expédier un tableau déco par transporteur est compliqué de part les dimensions du produit :

Colis grandes dimensions

Une fois la commande validée, j’ai patienté moins de 24h avant d’avoir la confirmation d’expédition du tableau.

Livraison du tableau deco à domicile

Le lendemain matin à 11h43, le livreur se présentait à mon domicile pour me remettre mon tableau d’éléphant.

J’ai ensuite voulu tester la procédure de retour en cas de rétractation. Par conséquent, j’ai adressé un email au service clients qui m’a simplement répondu que le retour était gratuit !

Bon, là je crois avoir déniché la perle rare en matière de déco intérieure 😉

Vous l’aurez compris, Tableau Deco est le site e-commerce crée avec la solution e-commerce wizishop depuis quelques semaines, et on adore Wizishop !

CatégorieE-commerceMarketing Web (SEA)

E-commerce : Comment augmenter ses ventes avec l’up selling et le cross selling ?

Up selling ou Cross selling

L’un des objectifs d’un site e-commerce est de fidéliser ses clients, et de faire en sorte qu’ils dépensent toujours plus. Cela permet d’accroître le chiffre d’affaires sans avoir à attirer de nouveaux prospects.

En effet, les chances de vendre à un client déjà présent sont de 60 à 70 %, quand elles ne sont que de 5 à 20 % avec un nouveau client.

Il est moins coûteux de vendre plus à un client existant que d’en chercher de nouveaux.

Or, parmi les techniques efficaces pour augmenter ses ventes avec le même client, on retrouve l’up selling et le cross selling. Bien que légèrement différentes, ces deux techniques marketing présentent des caractéristiques proches et la même finalité : augmenter le panier moyen du consommateur.

Qu’est-ce que l’up selling ? Qu’est-ce que le cross selling ? Quels sont leurs avantages ? Comment bien utiliser ces techniques de vente ?

1- Up selling et cross selling : à quoi correspondent ces techniques de vente ?

Une définition de l’up selling

Cette technique est également appelée « vente incitative ». En effet, l’upselling consiste à vendre un produit plus cher que celui que le client s’apprêter à acheter.

La pratique de l’up selling consiste notamment à proposer une version plus onéreuse du produit que le client avait choisi.

Par exemple, un lave linge avec une plus grosse contenance, un Iphone avec une capacité de 250 Go au lieu de 64 Go , etc.

Il peut s’agit aussi de proposer un produit supplémentaire au produit acheté qui contribuera à en augmenter la valeur :

  • des services supplémentaires : une extension de garantie, une assurance etc ;
  • des options supplémentaires : une couleur, une matière plus coûteuse.

Enfin, il peut s’agit d’un produit comparable d’une gamme supérieure.

Adaptez votre argumentaire commercial au besoin du client : une protection supplémentaire (assurance, extension de garantie), une qualité supérieure ou un meilleur confort (un produit de qualité supérieure) ou encore des résultats plus rapides (un produit plus puissant).

Une définition du cross selling

Le cross-selling consiste à proposer des produits supplémentaires au cours du parcours de vente.

Le cross selling à pour objectif d’inciter les clients à  compléter leurs paniers d’achat avec d’autres articles.  Ces produits sont souvent complémentaires, mais pas toujours.

On parle de ventes additionnelles.

Le cross selling peut se présenter sous la forme d’une vente complémentaire.

Dans un magasin, le commerçant dispose ensemble des articles ayant un lien les uns avec les autres.

Dans la grande distribution, on parle de « cross merchandising ».

Par exemple, dans le rayon de présentation des tondeuses sont également disposés tous les produits complémentaires utiles comme du désherbant, par exemple.

Sur un site e-commerce, des articles complémentaires sont présentés sur la page produits, par exemple avec un message du type « Les autres clients ont également acheté … ».

Autre exemple, lorsque vous commandez sur une borne dans un fast food ou sur une application de livraison de repas, avant de parvenir au paiement de votre commande, des produits complémentaires sont proposés.

Outre la vente complémentaire, pensez à la vente d’opportunité.

Il s’agit de proposer au client un article supplémentaire plus ou moins similaire à celui qu’il vient d’acheter.

L’une des techniques de vente d’opportunité la plus efficace est celle la vente par lots.

Par exemple, au lieu d’acheter une seule boite de conserve, le client achète un lot de 3 à un prix unitaire légèrement inférieur. Ce peut être aussi des « packs découverte » regroupant plusieurs produits comme les « coffrets ».

2- Quels sont les avantages de l’up selling et du cross selling ?

Le Cross-selling et l’Upselling sont particulièrement efficaces auprès des clients existants.

Le Upselling et le Cross-selling vous permettent de :

Augmenter le taux de conversion

Lorsque vous proposez des produits complémentaires ou ayant une valeur ajoutée supplémentaire de manière pertinente au client, vous augmentez vos chances de conversion.

Les clients sont souvent intéressés par les propositions adaptées à leur besoin. Une mise en œuvre subtile de ces techniques marketing peut permettre d’assurer un plus grand nombre d’achats.

Augmenter le panier moyen

Le panier moyen désigne la dépense moyenne réalisée par un même client au cours d’une même visite dans un point de vente ou un site e-commerce.

Proposer des produits en up selling ou en cross selling a pour objectif d’augmenter les dépenses d’un client au cours d’une même visite.

Le panier moyen augmente sans avoir besoin d’attirer de nouveaux clients. Proposer des offres d’une valeur supérieure ou des produits complémentaires suscite un désir chez le consommateur capable de déclencher l’acte d’achat.

En devançant ces besoins, vous augmentez significativement vos ventes et votre chiffre d’affaires.

Améliorer la satisfaction client 

Comme nous l’indiquions, l’upselling et le cross selling sont deux techniques de suggestions d’achat.

Si celles-ci sont subtiles et pertinentes, elles permettent de devancer l’expression du besoin de l’acheteur.

Imaginons, un client qui a besoin d’un barbecue mais n’a pas forcément envisagé les produits complémentaires nécessaires.

Plutôt que de le laisser découvrir une fois arrivé chez lui qu’il lui manque le charbon pour allumer son barbecue, proposez-lui directement le charbon !

Ceci est un exemple, mais vous voyez l’idée.

Si les suggestions d’achat en magasin ou sur le site e-commerce sont adaptés au besoins des acheteurs, vous augmenterez la satisfaction client.  La recommandation adaptée améliore la fidélisation client.

3- Comment bien utiliser l’up selling et le cross selling ?

Le timing dans le parcours de vente

Les suggestions commerciales en cross-selling et upselling doivent être positionnées au bon endroit sur le parcours client.

Avant l’achat

Sur un site e-commerce, des recommandations peuvent être prévues dès la page d’accueil du site, notamment pour présenter vos offres du moment.

Ensuite, les techniques d’upsell ou de cross-sell sont particulièrement efficaces sur les fiches produits. Les clients peuvent comparer les produits et opter pour une offre à plus forte valeur ajoutée.

Vous pouvez également proposer une sélection de plusieurs modèles différents pour favoriser la vente croisée.

Pendant l’achat

De nouvelles suggestions peuvent être subtilement proposées au moment de l’ajout d’un produit au panier pour décider à l’achat les indécis.

Par exemple, sur un site e-commerce, une chemise a été ajoutée au panier. C’est le moment pour proposer de compléter l’achat avec une cravate, ou pourquoi pas, des boutons de manchettes.

Pensez éventuellement à proposer les frais de livraison offerts grâce à l’ajout de nouveaux produits au panier. Cette technique est très incitative. En effet, lorsque la montée en gamme ou l’ajout de produits permettent de réduire les frais de livraison, le client a la sensation de faire une bonne affaire. 

Dans un magasin physique cette technique se traduit souvent sur des étalages situés près des caisses permettant de déclencher un achat d’opportunité. On voit très souvent ces étalages dans les supermarchés contenant des objets hétéroclites : magasine TV, chewing gum, piles, ect,.

En revanche, après l’étape panier, c’est-à-dire durant le processus de paiement, il est vivement déconseillé de proposer d’autres suggestions. Vous devez vous contenter de sécuriser le processus de paiement afin que le client aille jusqu’au terme de son achat et ne surtout pas utiliser Payzen pour l’encaissement.

Après l’achat

Suite à un achat, en magasin ou sur site e-commerce, proposer d’autres produit est toujours possible afin d’encourager les clients à effectuer un nouvel achat avec des produits complémentaires.

Ces suggestions sont le plus souvent transmises par mail.  En revanche, dans ce cas l’up selling ne fonctionne pas.

Proposer des suggestions efficaces

La règle des 25 % : la valeur des produits complémentaires proposés ne doit pas dépasser pas 25% du panier initial du client

Pour que ces ventes additionnelles soient perçues comme réellement pertinentes, le consommateur doit en percevoir la valeur ajoutée. Il n’avait pas pensé à acheter le produit complémentaire et cela l’arrange de se le procurer en même temps . Il a découvert de nouveaux produits qu’il ne connaissait pas. Il a acheté un lot du produit qu’il était venu acheter mais pour un prix unitaire plus bas, il a donc réalisé une bonne affaire. Ou encore, il repart avec un produit plus performant que celui qu’il visait et plus adapté à ses besoins.

Pour que le cross selling et l’upselling soient efficace,  vous il est admis de respecter la règle des 25 % : la valeur des produits complémentaires proposés ne dépasse pas 25% du panier initial du client, c’est-à-dire la valeur de ce qu’il se proposait d’acheter initialement.

La présentation des produits complémentaires ou de gamme supérieure doit être soignée et subtile. Le client doit apprécier la valeur ajoutée d’un article plus cher ou de produits complémentaires.

Dans le cas contraire, cela peut lui faire un effet de vente forcée, créant de la confusion et un climat de méfiance. A ce stade, non seulement vous risquez de ne pas augmenter le panier moyen de ce client mais  même de ne pas conclure la vente.

Bien utilisées les techniques de cross selling et d’upselling peuvent à la fois satisfaire vos clients et augmenter votre panier moyen.

À condition de se montrer subtile et pertinent 😉

CatégorieMédiocrité & Contentieux

La solution de paiement Payzen, est-elle satisfaisante ? Retour sur 5 années d’utilisation

1- Pourquoi une solution de paiement en ligne ?

Lorsqu’on exploite une activité digitale, qu’elle relève du E-commerce ou non, une solution d’encaissement en ligne est indispensable.

Il existe bon nombre de solutions de paiement à l’instar de Payzen, Payplug, Stripe, Paypal, ou encore 2checkout devenue Verifone.

Les banques institutionnelles ne sont pas en reste avec pour certaines leur propre solution d’encaissement :

Crédit AgricoleE-transactions
BNPMercanet
Crédit MutuelMonético
LCLSherlock’s

D’autres enseignes bancaires ont choisi de commercialiser la solution Payzen auprès de leurs clients à l’instar de la Banque Populaire, de la Banque Postale, de la Caisse d’Épargne, ou encore la Société Générale.

Le choix de la solution d’encaissement est primordial afin de pérenniser l’activité d’une l’entreprise numérique.

Sans encaissements fiables et réguliers, l’entreprise concernée est vouée à disparaître. Elle doit disposer d’un partenaire bancaire fiable et réactif et d’une solution d’encaissement qui le soit tout autant.

2- Qu’est ce que Payzen ?

Payzen est une solution d’encaissement développée par Lyra Network.

Cette plateforme de paiement est compatible avec la plupart des activités E-commerce du marché et peut s’implémenter assez facilement.

L’un de ses points forts est la gestion des abonnements par alias, mais Payzen n’a pas le monopole de cette fonctionnalité.

3- L’entreprise Lyra Network qui édite la solution Payzen

Lyra Network est une entreprise Française qui développe et commercialise Payzen.

Fondée en 2001, Lyra Network est dirigée depuis l’étranger par Alain Lacour.

Cet entrepreneur français a crée Lyra Network afin de proposer une solution de paiement « Made in France » :

Payzen
Extrait de la page d’accueil publique du site Payzen

Sur le papier, le projet porté par Lyra Network est enthousiasmant.

Plus en détail, l’entreprise ne publie plus ses comptes depuis 2019 où elle réalisait 36 Millions d’euros de CA pour un bénéfice net supérieur à 7 millions d’euros (20% de rentabilité nette).

Lyra est une entreprise Française profitable qui donne envie de travailler avec elle.

4- Le Patron : Alain Lacour

Alain Lacour a un parcours centré sur Lyra network d’après son profil public sur linkedin :

Extrait du profil public Linkedin d’Alain Lacour

Il indique vivre à Bogota, en Colombie.

Ingénieur en aéronautique, Alain Lacour mentionne avoir commencé sa carrière dans un service informatique de la banque populaire ainsi qu’au Crédit Agricole d’où il s’était fait licencier :

Extrait du site Capital Angels ouvert au public

Indiquant être « issu d’un milieu modeste », son attitude à l’égard de ses clients montre pourtant un tout autre visage, comme nous le verrons plus loin.

5- Payzen en marque blanche auprès des banques institutionnelles

Lyra commercialise sa plateforme de paiement Payzen auprès de banques Françaises qui la proposent ensuite à leurs clients.

C’est là que les problèmes peuvent survenir pour les clients qui accordent leur confiance à leur établissement bancaire pour le choix de leur TPEV.

Nous le verrons juste après avec des exemples concrets, mais il semble très compliqué de travailler sereinement avec Payzen et plus particulièrement avec la direction de Lyra Network.

6- Utilisation de Payzen durant 5 ans

Il faut reconnaître que nous connaissons TRÈS bien Payzen parce que nous l’utilisons depuis des années.

Nous n’aurions pas dû et je regrette aujourd’hui ce choix.

Simplement car quelque soit l’enseigne bancaire qui propose Payzen, cela nous a posé des difficultés et Lyra Network n’a jamais montré de bonne volonté pour les résorber, au contraire.

En marque blanche

Avec Sytempay (Payzen à la banque populaire), il était impossible de ré-initialiser un mot de passe quelque soit l’utilisateur (11/12/2020)

de même que des incidents récurrents étaient présents sur Systempay :

les remises CB n’étaient pas effectuées normalement, on courrait en permanence après les fonds, mais les commissions, elles, étaient bien prélevées et facturées :

Pire, la BPGO nous re-facturait chaque avis d’impayé à hauteur de plusieurs dizaines d’euros sans que cela ne soit effectué en amont par Payzen.

Idem à la Caisse d’Épargne qui indiquait le 05/11/2021 :

On s’est dit qu’il fallait procéder autrement car Payzen proposait des fonctionnalités essentielles pour nos activités.

En VADS

C’est ainsi que nous avons mis en place un contrat VADS + une licence Payzen.

Le contrat VADS permet de passer outre la solution d’encaissement proposée par la banque, afin de disposer de la plateforme de paiement souhaitée en dehors du périmètre de l’enseigne bancaire.

Plus précisément, une banque qui ne dispose pas de Payzen à son catalogue peut tout de même proposer cette solution d’encaissement à ses clients via un contrat VADS rattaché à Payzen.

7- Des dysfonctionnements récurrents

Seulement, depuis la mise en place de ce contrat VADS, rien n’a fonctionné correctement :

I – Journaux des transactions retardés ou carrément manquants

II – Des Remises CB non effectuées

III – Des abonnements non recouvrés

IV – Des accès back-office marchand interrompus et des transactions bancaires apparement perdues

V – Des commandes réglées par les clients, mais perdues par Payzen

VI – Des informations de débiteurs manquantes et non communiquées à l’établissement bancaire

VII – La télécollecte interrompue (à plusieurs reprises et confirmée)

VII – Des flux monétiques interrompus

VIII – Des transactions perdues ou supprimées par leurs soins

IX – Le 3D Secure inopérant

X – Des rapprochements bancaires incomplets

Les dysfonctionnements Payzen sont réguliers et jamais véritablement résolus.

>>>> Il ne s’agit là que de quelques exemples, mais nous en avons des dizaines à disposition. <<<<

Des propos désinvoltes et irresponsables de la direction

Pire, le support Payzen (comprenez Alain Lacour qui répond en lieu et place de ses agents) ne tient pas compte de certains dysfonctionnements pourtant factuels, et préfère envoyer le client vers sa banque plutôt que de corriger la problématique évoquée :

« On ne traite pas les remises du CIC, ni celles de la SG
On les envoie en temps et en heure
Ensuite on ne contrôle rien […] »

Alain Lacour.

La banque renvoie naturellement vers Lyra qui édite la solution d’encaissement qui pose problème

Chez Payzen, la parole du client est systématiquement mise en doute et pourtant la plupart du temps ce sont eux qui sont responsables des dysfonctionnements :

8- Au support Lyra, Alain Lacour menace ses clients

Honnêtement le traitement réservé aux clients qui font appel au support Payzen est DÉPLORABLE.

On est pas payé pour faire le support de votre banque

Alain Lacour

Bizarre, comment se fait-il que les banques concernées mettent systématiquement en cause Lyra network (payzen) concernant l’ensemble des dysfonctionnements ?

Dans le déni total, Alain Lacour vient adresser des emails condescendants et pour la plupart anonymes à ses clients :

« Nous ne sommes en rien responsable du traitement en retard du CIC la semaine dernière
Et toujours pas responsables du retard de ce matin

Le sujet n’est pas la télécollecte inopérante
Nous avons envoyé le fichier en temps et heure […] »

Mail anonyme du support Payzen

Préférant la lâcheté de l’anonymat au respect des clients, il choisi néanmoins un mépris affiché pour les « petits » clients dans ses emails qu’il adresse sans connaître le sujet abordé :

« […] on n’est pas là pour faire le boulot de votre banque
[…] donc […]
Je vous envoie balader […] »

Alain Lacour.

TOUTES les enseignes bancaires concernées mettent en cause Payzen.

Puis, mécontent d’être mis en cause par le support des banques vers lesquels il renvoie, Alain Lacour menace ses clients de rupture unilatérale de contrat et de spoliation de base de données :

« J’ai demandé à résilier votre contrat »

et ajoute :

« Je ne voudrais pas que vous gardiez un back up »

Ce dernier propos tout à fait inacceptable est illégal.
La CNIL a été saisie en ce sens.

Lacour tient un discours hors sol et méprisant à ses clients qui pourtant paie pour cette assistance et ce support :

[…] surtout avec les chialeurs quand les banques ont du retard …

et le fameux

« on est pas payé pour faire le support de votre banque » 

Alain Lacour

Les grandes banques concernées incriminent SYSTÉMATIQUEMENT Lyra dans ces dysfonctionnements.

Sans qu’à aucun moment, la direction de Payzen ne se remette en cause.

Encore un courrier d’une grande enseigne bancaire incriminant Payzen :

Mieux, alors que des dysfonctionnements factuels étaient remontés par le client à Lyra, c’est le client qui se fait dégager par le taulier ; sans doute aigri que l’on puisse relever ces manquements.

Étonnamment, dans les autres fintech les dirigeants et les équipes sont plutôt friands de pouvoir disposer de lanceurs d’alertes afin corriger les dysfonctionnements de leur outil.

Alain Lacour semble préférer faire l’autruche, mais comme il le dit lui-même :

« Le temps c’est de l’argent […] et j’en ai assez perdu »

Alain Lacour – Président de Lyra Network

La solution de paiement, payzen, est-elle satisfaisante ?

Dans ces conditions qui irait confier l’encaissement du Chiffre d’Affaire de son entreprise à Lyra ou Payzen ?

C’est impossible d’avoir confiance en Lyra compte tenu des réactions irresponsables de Monsieur Lacour qui parle mal à ses clients, qui les menace, alors même que ceux-ci le font pourtant vivre.

Si Alain Lacour ne veut pas que ses clients contactent le support Lyra, il faut supprimer le support ou faire correctement le job, mais c’est loin d’être le cas.

Le comble étant sa présentation qui fait sourire : « issu d’un milieu modeste » mais qui n’hésite pourtant pas à mépriser ses clients et leurs « petites remises ».

Différents avis clients au sujet de Payzen sont publiés et indiquent :

 

ou encore

Très honnêtement, nous vous déconseillons formellement l’utilisation de Payzen pour tout site E-commerce ou activité digitale.

En choisissant Lyra pour vos paiements en ligne, vous pourriez mettre votre entreprise en danger si le patron de Lyra décide de s’offusquer de vos demandes légitimes effectuées au support.

Le point positif de cette mauvaise expérience est de s’en être rendu compte maintenant afin de choisir une véritable solution d’encaissement fiable et à l’écoute de ses utilisateurs.
Tout ce que n’est pas Payzen d’après nos expériences déplorables avec Lyra.

La société Lyra Network et son dirigeant Alain Lacour dispose d’un droit de réponse en commentaire de cet article.

 

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